Régalade les nouvelles orientales de Yourcenarw ça se lit vite comme des nouvelles avec le bon dosage de mythologie et de rêverie.
Je vais attaquer Krasznahorkai (ceci est un c/c) avec Guerre & Guerre
Un art de l'éternité
Éric Michaud
Ouvrage historique que j'avais commencé y a 2 mois mais n'avais pas eu le temps de le finir. J'ai un peu cavalé sur les 150 dernières pages donc il me faudra sûrement une deuxième lecture plus active un de ces 4.
Lecture néanmoins très instructive et avec ce style très agréable que les historiens actuels ont su développer pour palier le côté parfois aride de leur propos.
On y discute du souverain artiste, le bouquin chercher à montrer comme le Nazisme s'est construit sur le mythe d'un "souverain artiste", càd un prince qui façonne la masse pour créer un peuple. La race, c'est une esthétique, elle ne naît pas naturellement, il faut un artiste pour la tailler dans la pierre populaire.
Conséquemment, si vous voulez faire une beau dessin, il faut gommer les traits pas propres et virer tout ce qui vous plaît pas, ce qui n'est pas beau.
À lire si l'histoire du Nazisme vous intéresse, peut-être pas à lire en guise d'introduction au sujet parce que l'auteur ne revient pas sur les explications plus traditionnelles du sujet ni même sur le contexte historique mais y a pas non plus spécialement besoin de connaître la question sur le bout des doigts.
Angle intéressant, j'aime l'idée.
Le 23 juin 2024 à 00:59:30 :
Madame de Bovary
Premiere parti fini, pour l'instant j'aime beaucoup
Il écrit bien ce flaubert
Rambo (First Blood): vraiment plus violent et cru que le film (qui reste mon préféré de la franchise aussi) mais aussi donne plus au personnage de Teasle (comme pas mal de livre).
Je comptait lire La Stratégie Ender après Étoiles Garde à vous mais j'étais fatigué de la SF Militaire/Space Opéra.
Par contre je compte me lire Simulacron 3 très bientôt (il a inspiré le film Passé virtuel).
Les marins ne savent pas nager, II (Dominique Scali).
Relu Les Oiseaux d'Aristophane. Il règle ses comptes avec tous les olibrius qu'il pouvait croiser, et donne envie d'en faire autant, de propulser sur scène les fâcheux pour leur botter le cul et par métonymie celui de leurs amis. Et pourtant, la pièce finie le monde est comme il est, alors il vaut mieux en rire. C'est du gros carnaval toujours plaisant, à lire dans la traduction de Debidour je recommande.
Tokyo Vice
Depuis environ la dernière fois, j'ai enchaîné Enfance (Gorki), Ethan Frome (Wharton), Mine Boy (Abrahams) et En Attendant Godot (Beckett). Depuis hier soir je tente de m'offrir une relecture de Oblomov.
Beaucoup apprécié les jeux de langue de Beckett, le mélange élégant de gravité et légèreté, c'est noirâtre et bouffon. Il casse un peu trop le quatrième mur mais c'est drôle.
Beaucoup apprécié Ethan Frome, une nouvelle dense en atmosphère, en sentiments contenus, sur un thème archi-classique d'amour et de jeunesse qui se sacrifient dans leur excès. C'est simple, crédible, la prose exquise.
Lecture estivale récurrente Journal intime, tome X (Henri-Frédéric Amiel). Plus que 2 tomes.
Ces derniers temps, j'ai enchainé des lectures féministes et les hommes prennent cher. Seuls les homosexuels sont un peu épargné mais curieusement leur durée de vie est assez courte. Depuis metoo, les écrits féministes se lâchent (génie lesbien, je déteste les hommes, comment tuer mon mari). Homme ou femme, l'être humain est une belle pourriture, je ne pense que la femme soit plus angélique que l'homme.
Heureusement t'as quatre mille ans de classiques à côté où la femme est soit la mère soit la pute pour compenser trois essais à deux balles pondus par des colleuses d'affiche.
Pas que des essais, des témoignages aussi. C'est terrible cette surproduction compensatoire justement, que tu pointes avec ironie à l'envers. Et elle est célébrée comme une juste trajectoire de la littérature, qui ouvre les portes à tout et n'importe quoi au prétexte que ça donnera à la fin un corpus à peu près paritaire. Et ce, autant dans les nouvelles parutions que dans l'exhumation ou la canonisation. J'ai trois collègues sur mon équipe de 8 qui ont refondu leur progression avec une conviction effrayante.
On dira que ce phénomène a eu d'autres antécédents, mais pas sûr que les critères para-littéraires aient eu à ce point autorité pour célébrer tel ou tel texte dans tous les milieux autorisés.
cette surproduction compensatoire
Ca me paraît un peu arbitraire à l'intuition ; on publie énormément - et beaucoup trop - de livres mais de tout. Je serais pas capable personnellement d'affirmer que la majorité de la production, ou que même une part substantifique et non négligeable de ce qui sort / est mis en avant est composée de mauvais récits de femmes.
elle est célébrée comme une juste trajectoire de la littérature
Célébrée ? Par qui ? La littérature n'a aucune place dans notre société. Je pose pas la question de façon polémique, je me demande sincèrement où tu vois ça.
au prétexte que ça donnera à la fin un corpus à peu près paritaire
Même si on le voulait, on n'y arriverait jamais, et l'institution qui pourrait à la limite l'imposer dans des cadres sans influence réelle - je pense égoïstement au bac de français typiquement - ne le fait même pas.
Je le dis d'autant plus que je suis en ce moment dans ma pire période où je pourrais être confronté à ce que tu décris ; je sors là de 45 oraux de français qui ont été pour l'immense majorité épouvantables - puisque j'ai tiré cette année comme examinateur les STMG d'un des pires bahuts du val d'oise - et qui contenaient pas mal "d'oeuvres" qu'on pourrait assimiler un peu à ce corpus : Moi Malala, du Despentes, les merdes de Laetitia Colombani, je me suis tapé QUINZE PUTAIN DE FOIS des oraux sur No et Moi de cette épouvantable chiasse qu'est Vigan (et sérieux je mérite ma médaille pour ça), du Claire de Duras, du Chimamanda et j'en passe mais c'est un pur effet de loupe.
C'est les délires des mémères profs de français de banlieue, dans le réel je vois pas trop où ça existe et surtout pas dans les institutions patrimoniales avec du poids qui sentent encore bon la couille et le culte du XIXe.
Et puis de toute façon, qui en a quelque chose à foutre ? Parmi les autrices que j'ai citées, combien sont connues autre que vaguement de nom ? Quel poids elles ont à part être passé dans des talk show miteux ou dans des émissions culturelles à la con qui tournent en vase clos chez quatre bobos et demi et chez des petits fonctionnaires auditeurs de france inter ?
Toujours dans ces histoires de bac d'ailleurs, j'ai pas les stats donc je suis obligé d'y aller au doigt mouillé mais confrontés au choix de faire étudier éternellement les mêmes sonnets fatigués de Rimbaud, une poétesse contempo' québécoise ou la partie la plus expérimentale du taf de Ponge...bah Rimbaud a mis une ultra pile sévère à tout le monde.
Je sais pas. En te lisant j'ai l'impression d'être matrixé par des idées réacs et j'essaie vraiment de me remettre en question tant t'as l'air sûr de toi. Mais même en faisant cet effort, je continue de penser qu'il existe des instances de célébration de la littérature dans notre société, et que ces instances vont dans la trajectoire que j'ai déplorée tout à l'heure. Les prix littéraires, la grande librairie, les têtes de gondole (gros éditeurs et distributeurs), et les mémères profs de français (puisque tu les nommes ainsi, mais j'ajoute quand même qu'on les trouve ailleurs qu'en banlieue). A vrai dire, ça me crève les yeux. Ça me catastrophe pas - j'ai eu l'occasion de dire que je prenais mes distances avec Finkie que j'aime bien par ailleurs -, ça m'obsède pas non plus. Ca me gonfle dès que j'ai une occasion de l'observer, et je constate que ces occasions sont nombreuses.
De même, l'exhumation ou la redécouverte des écrivaines oubliées, c'est pas juste un fantasme réac' ou machiste, c'est réel, quand bien même les marronniers de toujours demeureraient. C'est pas mal en soi, mais c'est suspect comme démarche, et ça participe du problème global qu'on pointe.
Après clairement oui, si j'arrête de parler bouquins avec certains collègues, que j'arrête de discuter avec certains libraires, que j'arrête de lire le magazine littéraire dans la salle des profs, que je bloque un certain nombre de médias mainstream dans mes recommandations Youtube, que j'arrête de me tenir au courant de la grosse actu éditoriale... Le problème deviendra beaucoup moins prégnant. Ce que je finirai par faire très probablement si ça continue comme ça. Et comme toi, ça me giclera sur le visage les jours d'examen.
Je ne suis pas sûr de moi à ce propos, quand j'insistais sur le fait que je ne posais pas la question de manière rhétorique c'était pas un mensonge.
Je pense par ailleurs que tu peux avoir des biais réactionnaires, mais de la même manière que je pense que j'ai des biais fatalistes et d'autres qui naissent de ma relative indifférence à la contemporanéité médiatique, considérant que le temps fera son tri.
Pour les instances que tu cites, les prix littéraires c'est jamais qu'un label commercial qui est très loin de garantir autre chose que des ventes correctes sur une fenêtre de tir en septembre. Qui se souvient de Giraud ? De Dubois ? De Salvayre ? De Rahimi ? Et je m'en tiens qu'au Goncourt qui est le plus pesant, si je commence à rentrer dans l'interallié, le femina ou autre ça va tourner à la danse - ou au pire aux différents prix de l'AF
La grande librairie, qui est une émission que je trouve personnellement imbuvable au dernier degré (je dis pas ce que je rêverais de faire à Busnel, je me ferais supprimer), ça tape du 1% d'audience. Je suis dans le milieu des lettres quand même et ça m'est pas arrivé une seule fois de ma vie d'entendre quelqu'un dans la vie parler de cette émission. Je crois que la seule image médiatique que j'ai de cette daube c'est une fois où ça avait craché sur Sorel et la soirée spéciale Martin que j'ai vu passer sur un télé 7 jours ou je sais pas quoi.
Si tu regardes les meilleures ventes Amazon, tu tombes sur de l'ultra classique, sur du programme scolaire et sur de la chick litt sous différentes déclinaisons (une para-littérature quand même très loin d'être assimilable à la question évoquée par Zahbout au début, voire même franchement combattue par une certaine frange du féminisme de combat).
Quand je vais en grosses fnac et à Gibert, qui sont outre les boutiques de seconde main les endroits où j'achète de la littérature neuve, t'as littéralement tout.
https://www.gallimard.fr/Nouveautes je check là comme on en parle ce genre d'onglets pour les grosses maisons, y a un tel volume et une telle diversité entre les rééditions et le nouveau que je trouve impossible de définir chez eux une ligne qui serait le marqueur de x ou y intentions.
Les mémères sont des suiveuses, je veux pas manquer de respect aux collègues ni à moi-même dans l'auto-flagellation mais y a pas de monde où nous sommes une "institution littéraire". Tout le flan sur l'école de la République qui va faire descendre comme les Tables de Momo le patrimoine sur des gamins qui découvriront la lecture grâce à nous, ça n'existe pas.
Le truc que j'ai le plus souvent lu sur internet ça doit être "au lycée je détestais lire mais j'ai commencé à aimer à 20 ans"
De même, l'exhumation ou la redécouverte des écrivaines oubliées, c'est pas juste un fantasme réac' ou machiste, c'est réel, quand bien même les marronniers de toujours demeureraient. C'est pas mal en soi, mais c'est suspect comme démarche, et ça participe du problème global qu'on pointe.
Avec le confort bourgeois d'être un agrégé dont les cours commencent à être assez rodés pour largement réduire mon temps de travail, confort couplé avec le fait que le niveau de mes élèves me stimule pas du tout intellectuellement, je me ramollis chaque année niveau recherche et exploration, surtout comparé aux grandes années de la fac que je regrette tout le temps ; je suis donc mal placé pour y réfléchir mais y en a tant que ça ? Je suis pas sûr que je pourrais t'en citer plus d'une poignée, et encore c'est très contextuel pour accompagner l'étude d'Olympe de Gouges (qui ne rentre pas dans cette catégorie pour moi, elle était très connue) : on a eu Claire de Duras peut-être qui a eu l'insigne honneur du bac et encore qu'on voyait souvent traîner avec Ourika à l'oral, j'ai du voir du Emilie du Châtelet, Louise Weiss, Olympe Audouard...je crois pas que je pourrais te citer autre chose et encore j'ai dû me faire chier et tricher en allant voir dans mes dotations du CDI.
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Entendons-nous bien sur le fait que tout ce que je viens de poster là n'est pas une tentative de debunk ou je ne sais quoi mais un questionnement sincère que je me pose sur la matérialité de ton sentiment. Maintenant :
C'est pas mal en soi, mais c'est suspect comme démarche, et ça participe du problème global qu'on pointe.
Là on rentre plus dans l'opinion philo-politique pour le coup. Je dois dire qu'il est vrai que je me suis gauchisé depuis ces quelques dernières années, probablement assez nettement même sur certains points, mais je pense pas que ce soit une mauvaise chose qu'on essaie de proposer aux femmes des modèles de fiction moins typés ou des espaces de revendication différents.
Je pense que c'est une bonne chose parce que ce sont des préoccupations dont des gamines m'ont fait part directement (et c'est des meufs de cités, c'est pas des bourgeoises déconstruites, elles expliquaient ça avec leurs mots vulgaires et sans être dans une posture idéologique cimentée) et que ça a fait évoluer mon regard sur la question, j'ai reconnu aussi dans leur questionnement un truc dont je me suis senti moi-même victime quand j'ai expérimenté le déclassement social à Paris et donc par empathie ça m'a fait faire cet autre pas dans leur direction, mais même d'un point de vue purement égoïste de lecteur et de consommateur d'art en fait.
Les typologies de femmes dans toute une partie de la littérature conçue par des hommes sont nettement plus limitées à mes yeux que les modèles masculins, d'où ma remarque initiale évidemment provocante sur la maman et la putain, comme dirait l'autre, et ça me fait chier, dans le sens où ça m'ennuie. Balzac au hasard, et on aurait pu en citer mille, a du mal à écrire des personnages de femmes morales sans les rendre chiantes ; il a tout un bouquin consacré qu'à ça et c'est un de ceux qui fonctionnent le moins sur cet aspect, L'Envers de l'histoire contemporaine, même si j'ai une sympathie idéologique de chrétien assez forte pour le livre. J'idolâtre l'Education Sentimentale mais au milieu d'une galerie passionnante d'hommes qui incarnent, dans les deux sens du terme, les mutations de la société, le symbolisme des femmes est assez grossier. Il y a l'amour cristal, l'amour physique, et la petite fille. Heureusement que Mme Dambreuse à la fin vient foutre un peu de sable dans l'engrenage, mais on la voit trop peu et sa caractérisation de bourgeoise déborde sur sa caractérisation de femme.
Un truc qui pourrait être marrant d'ailleurs plutôt que de parler de trucs aussi merdeux que le prix Goncourt ou la découpe de savons qu'est Gallimard, ce serait de lister les personnages féminins préférés du fouroum en essayant de se demander pourquoi ceux-là précisément. Je pense que l'expérience serait pas inintéressant même si biaisée.
C'est le même problème qu'avec les vaudevilles pourris sur la chaîne publique, 1% ou non ça prend la place de quelque chose qui pourrait vraiment faire un carton, peut-être même surpasser les records d'audience des comédies de la bande à fifi.
Sur cette case à côté des vaudevilles pourris on a eu du Thomas Jolly et du David Bobée récemment qui n'ont guère mieux marché.
Là où je rejoindrais Manny c'est qu'on peut se contenter d'observer: de tout temps on s'est emparé de la littérature pour lui faire porter tel ou tel étendard, pour vendre ses idées, pour vendre tout court (sous couvert d'idées).
Après, on va pas se mentir, le "rattrapage" des femmes dans le développement de leur voix, l'érosion de la domination masculine, c'est comme la décolonisation: à marquer d'une pierre blanche. C'est social, politique, donc ça transforme tout, et c'est le principe premier de l'art de refléter ça, de le transmettre dans le futur, mais aussi de réécrire l'histoire. C'est le processus normal.
Et pour tous ceux qui ont été biberonnés à la testostérone, c'est quand même une jolie opportunité de compléter un manque, de consulter un héritage qui avait été mal conservé et mal valorisé. Et bien sûr qu'il faut trier. Et respecter les créneaux aussi: rien ne sert de mettre Balzac d'un côté, Amélie Nothomb de l'autre, et présenter ça comme un argument.
J'aime bien l'idée de parler des personnages de femme et de leur diversité, même si c'est peut-être un peu un autre sujet.
Pour citer un exemple représentatif de la posture que je décris dans l'édition et dans la réception, je citerai l'exemple de Marie de France, dont on vient de nous envoyer au collège des nullissimes fables.
Je cite des appréciations mises en exergue par l'éditeur : "Marie de France, c’est un peu le chaînon manquant entre Ésope et La Fontaine. Quant à donner à lire aux enfants des fables écrites par une femme, c’est un message en soi." (Ouest France) ; "Quelle bonne idée de la part de Laurence Faron que de rappeler que l'Histoire n'a été ni faite, ni écrite, que par des hommes. "Les femmes ont toujours écrit et bien écrit" nous a-t-elle dit. En voilà, une morale à retenir !". (Géo) Et je cite pas Libé et L'Obs, qui en ont fait des caisses.
Je suis allé chercher ça pour la discussion, sans avoir lu ces petites phrases avant, mais en étant sûr à 2000% que j'allais trouver des trucs de cet acabit. C'est littéralement systématique. J'ai pas tellement envie de partir à la pêche aux exemples, mais c'est pas faute d'en trouver. Je prétends qu'il suffit de chercher pas loin.
Encore une fois, on peut nuancer le poids de ce phénomène dans la société et dans l'édition globalement. Je dis pas que ça a restructuré le monde des livres, la critique, ou l'université. Je pense que ce poids est relativement important, mais je cherche pas à convaincre, y a rien d'urgent ni de catastrophique à mes yeux. C'est juste très con, dans ce cas précis de Marie, de se mettre à lire de la daube à la place de La Fontaine (ou autre chose) au prétexte que c'est une femme qui a écrit. Et pourtant, ça va marcher, à l'échelle de ceux à qui ça s'adresse.
Concernant les types de femme dans la littérature, ça s'explique surtout par le rôle social historique de la femme. Cette typologie va nécessairement évoluer, et c'est sûrement très bien. Je suis pas sûr qu'il faille à toute force lutter contre une réalité passée qu'on peut juste simplement assumer, ni même instrumentaliser cette réalité pour justifier une quelconque réplique plus ou moins offensive. Dans cette direction d'ailleurs, le féminisme tombe très souvent dans le complotisme le plus idiot. Si on peut tirer une critique très pertinente de l'analyse de cette typo (et des chercheurs le font sûrement très bien, je sais pas ça m'intéresse pas des masses), beaucoup disent absolument n'importe quoi.