je poste un erratum de mon deuxième chapitre juste pour info et je posterais ma dernière mission bientot

Onak: T'as un sniper, alors bute les!

Moon: Quoi?! mais ils sont même pas armé!

Onak: Les hanaris ont pas besoin d'armes, ils envoient des décharges électriques pour t'immobiliser et après ils viennent t'étrangler avec leurs tentacules!

Moon: Ahah! T'es sérieux?! Pourtant on raconte qu'ils savent pas se battre.

Onak: Seulement les civils, eux c'est des putains de fanatiques près à tout pour protéger leurs temples.

Moon: Ok je leur tire dessus mais avec des balles hypodermiques, inutile de les tuer!

Onak: Et pourtant tu devrais! C'est tellement marrant! Ahahah!

Moon endort les quelques gardes en un instant et avec Onak, ils se faufilent jusqu'aux ruines par un passage au bord de la paroi.

correction:

"Onak: T'as un sniper, alors bute les!

Moon: Ouai mais t’es sur qu’ils sont dangereux ?! Ils sont même pas armés.

Onak: Les hanaris ont pas besoin d'armes, ils envoient des décharges électriques pour t'immobiliser et après ils viennent t'étrangler avec leurs tentacules!

Moon: T'es sérieux?! Pourtant on raconte qu'ils savent pas se battre.

Onak: Seulement les civils, eux c'est des putains de fanatiques près à tout pour protéger leurs temples.

Moon: Ouai t’as raison, inutile de prendre des risques !

Moon tue silencieusement les quelques gardes en un instant et avec Onak, ils se faufilent jusqu'aux ruines par un passage au bord de la paroi. "

Chapitre 3 : Fuite

Environs du spatioport d’Obvium.

Agent de la CDS : Je suis en position, j’ai localisé trois cibles : un Drell, un Krogan et une créature étrange qui les accompagne. Le Drell porte un sac à dos où se trouvent surement les artefacts volés à la Caste. Quels sont vos ordres ?

Omnitech : Abattez-les ! Récupérez les artefacts et remettez-les au prêcheur le plus proche.

Agent de la CDS : Bien reçu !

L’agent s’apprête à tirer mais quelqu’un s’approche derrière lui, il se retourne rapidement.

Agent de la CDS : Oh ! Attendez quelques instants je suis en pleine intervention, des profanateurs viennent de piller les ruines d’Obvium.

L’agent se reconcentre sur son viseur.

Inconnu : Je sais.

Agent de la CDS : Comment ça vous savez ?

L’agent de la CDS n’a à peine eu le temps de se retourner qu’il se prend une décharge électrique, l’inconnu s’approche de lui, l’étrangle et finit par lui tordre le cou.
Au même moment, Moon Saibot et Onak Prime montent dans une navette du spatioport et quittent les ruines pour rejoindre la capitale.

Moon : Tu sais de quoi ça peut faire partie ?

Onak (en train de piloter la navette): Vu que les Prothéens l’ont caché, ça devait être important ; c’est peut-être le fragment d’une arme, un instrument, une clé, difficile à dire.

Moon : Ouai, du coup on fait comment pour trouver les autres ?

Onak : Il nous faut plus d’infos sur l’ensemble des ruines de la planète et le seul endroit où on peut trouver ça c’est le Manu Patronna, le siège des politiciens et de la CDS ; autrement dit c’est une mission suicide !

Moon : Mon frère Kain travaille à la CDS et ma sœur Zindel à l’ambassade de Rakhana, ils pourront peut-être nous aider.

Onak : Si jamais ils ne sont pas de notre côté, qu’ils nous barrent la route, sache que je n’hésiterais pas à les tuer !

Moon : Ils le seront, car avec ce qu’on a là, c’est la fortune assurée !

Onak : Bon on va bientot arriver au spatio...

Le radar détecte une source de chaleur qui se dirige très
rapidement vers la navette.

Onak : Merde ! Cramponne-toi, ça va secouer !

Un missile explose en plein dans le propulseur gauche, la navette perd l’équilibre et va se crasher dans une zone industrielle de Kila vaal Lorin.

Onak : Moon rien de casser ?

Moon : Je me suis niqué le bras mais ça va aller, faut qu’on sorte d’ici, allez Skrull on y va !

L’équipe sort de la navette endommagée, ils se sont crashé dans un vieux canal abandonné; on entend des sirènes de police qui se rapprochent du lieu du crash et quelques instants plus tard, trois navettes de police encerclent les lieux.
Une dizaine de policiers sortent et braquent les deux équipiers et le Sheelal.

Officier de police : Posez vos armes et mettez les mains en l'air! Je vous arrête pour profanation de ruines Prothéennes !
Onak: Là! Saute là-dedans! Vite!
L'équipe saute dans un conduit du canal, poursuivis par les policiers.

Une course poursuite s'engage dans les égouts labyrinthiques de la ville; en même temps de courir, Moon tente de joindre son frère Suzero pour qu'il l'aide à s'enfuir.

Moon: Suzero! J'ai de gros problèmes, j'ai besoin de toi!

Suzero: Qu'est ce qui se passe?! Tu t'es mis dans la merde avec cette histoire de ruines Prothéennes?

Moon: Ouai je t'expliquerai mais là des flics nous poursuivent dans les égouts de la ville! Ils faut qu'on disparaisse!

Suzero: Ok j'ai peut-être une solution, rejoint moi au déversoir à l'est des égouts!

Moon: Ok je me dépêche!

Onak: Vite Moon, ils nous rattrapent!

Après une dizaine de minutes à courir à travers les égouts, l'équipe sort à l'air libre par le déversoir; d'ici on a une magnifique vue sur l'océan, qui constitue 90% de la planète. A côté du déversoir se trouve une petite jetée où un sous-marin est amarré.

Moon: Là-bas! C'est Suzero! Vite!

Onak: Ils sont juste derrière nous!

Suzero: Moon te voilà! Dépêchons nous! J'ai dit au patron que j'avais un client qui détestait attendre et il m'a autorisé à prendre ça! Le sous-marin Hydronix tout droit sorti de nos industries.

Moon: Merci je te revaudrais ça!

Suzero: J'espère bien! Eh le Krogan! Alors comme ça vous avez suivi mon frère dans ces plans foireux?!

Onak: Pas si foireux, mais on a trouvé un artefact qui nous rendra riche!
Les policiers s'arrêtent et tirent sur le groupe avant qu'ils entrent dans le sous-marin.
L'un d'eux sort un sniper et des balles perforantes, il tire sur Suzero et le touche à la poitrine.

Suzero: Aaaaargh!

Moon: Nan!!!

Suzero: Moon, aaargh! Sauve-toi!

Moon, enragé, dégaine son sniper et tire sans viser avec la lunette, la balle atteint le tireur à la tête. Il recharge et tue tous les autres de la même manière.

Moon: Suzero! Accroche toi tu vas t'en sortir!

Suzero: Nan il m'a touché au poumon aaargh!

Moon: Attend! Tu te vide de ton sang!

Moon déchire un bout de ses vêtements et le presse contre la poitrine de son frère.

Moon: Sert ça contre ta poitrine! Onak appelle les secours!

Onak: C'est trop tard Moon!

Suzero crache du sang et a de plus en plus de mal à respirer.

Suzero: Moon, ce que t'as trouvé doit être très important, sinon aaargh! Y'aurait pas autant de flics a ta recherche. Continue ton chemin et aaargh! Fais honneur à notre famille! Que les dieux te protègent!

Moon: Nan Suzero! Suzero!!!

!-((
T'as pas mis ce que j'avais voulu.
Je voulais que Moon tue son premier "homme" et fasse une crise de culpabilité/ remords/ conscience aiguë

Ben j'ai décrit le passage ou ça se produit mais on vera sa culpabilité après sinon le chapitre aurait été trop long

Et c'est toi qui m'as dit de modifier pour que un de ses proches meurt

Aarrgh... Arrgh

C'est un peu con de mourir comme ça je trouve

t'as vu le dernier Batman ?

Sinon.
Dante est le meilleur au fusil de précision.

S'il vous plaît ?

Ah oui et enfin.
.
.
.
.

LE SNIPER C'EST LE TIREUR !!!!!!
Pourquoi tant de monde se trompe ?

je posterai la fin au début d'après midi (là ou la connexion marche bien).

Arrgh c'est juste pour exprimer la douleur faut pas imaginer qu'il repete betement ça avant de mourir

Sinon la flemme de dire "fusil de sniper" ou "fusil de precision" alors sniper c'est l'arme et/ou le mec on s'en fout

Et oui j'ai vu les batman pourquoi?

parce que dans le dernier c'est comme ça que

Tali al Gul meurt

Je me souviens qu'elle creve dans sa bagnole mais je sais plus comment

J'ai vu aucun batman
Et je me suis fais spoiler

‘’Dass et moi dans la maison. Cera, tu t’occupes de soigner Marco. Maintient le en vie… Quand aux quatre hommes restant, je les veux dans la maison. Le chef de tir et le mitrailleur au rez-de-chaussée et le fusilier et le grenadier au second. On se bouge…’’

Les trois hommes de la quatrième battirent en retraite, et arrivèrent dans la maison. Cera pris une table, et allongea Marco dessus pour tenter de le soigner. Avec le plan de Thomas, l’escouade pouvait faire feu sur les butariens sortant de la route, des bois, et surtout, des montagnes.

Tout en tirant, Zanovich se posa des questions. Comment est-ce qu’ils avaient été envoyés là-dedans ? Les Butariens devaient avoir tué une section récupéré leurs radios, et obligé un soldat a envoyer une escouade là-bas, avant de lui couper la gorge. C’était ce genre de chose qui arrivait. Les Butariens n’étaient pas des militaires réguliers, mais des miliciens cherchant la gloire. Quand ils ramenaient des trophées, ils étaient récompensés, leurs proches les aimaient, on les payait… On pouvait tout ramener de soldats de l’alliance. Leurs casques, leurs plaques, parfait leurs yeux, leurs têtes… Dans les camps de réfugiés, on mettait des crânes devant les maisons, des cœurs percés sur des piques, avec une inscription bien glauque : ‘’Je savais pas qu’ils avaient ça’’

En vengeance, l’armée faisait des arrestations en masse. Ils rassemblaient un escadron de marines, des policiers militaires, parfois l’armée de Terre envoyait un régiment. Ils pétaient les grillages, entraient avec des voitures et des sirènes, détruisaient les portes de toutes les maisons, balançaient tout par terre, et si ils voyaient un butarien qui correspondait, de près ou de loin, a un criminel, ils l’embarquaient, le tabassaient, et le foutaient dans les bagnoles. Souvent, ces épisodes se terminaient avec la mort à l’hôpital de plusieurs personnes. Et pour se venger, les Butariens attaquaient un camp militaire de nuit. Et pour se venger, l’Alliance bombardait au napalm une forêt où se réfugiaient des civils. Et pour se venger, les Butariens tuaient un ministre en visite en pleine rue. Et pour se venger, l’Alliance lançait des frapper aériennes sur des villages entiers, et envoyaient des hommes comme Thomas pour tuer des centaines de Butariens, femmes et enfants compris… Et pour se venger, les… Non, c’était trop tard, on avait viré tout les Butariens, et on avait tellement choqué les derniers combattants qu’ils avaient arrêtés leurs attaques.

Mais ça c’était une toute autre histoire. Là, Tom se retrouvait sur une toute petite ferme, avec 300 Butariens qui fonçaient sur eux. Il y en avait qui couraient des collines, décendaient, et pouvaient tirer tranquillement. Tom attrapa sa radio, et appela des renforts :

‘’Command, ici Lobster, nous sommes attaqués ! La position est fausse, il n’y a aucun poste ! Je suis sur une ferme, a 50 mètres de la D17, entouré par des Butariens ! J’ai un homme a terre et je manque de munitions, j’ai besoin de renforts immédiatement !
-Attendez un moment… Lobster, pourriez vous être spécifique ?
-PUTAIN DE MERDE, SALE BRANLEUR ! VIENS ICI ET TROUVE LES BUTARIENS !
-Calmez vous, Lobster… J’ai très peu de renforts disponibles. J’ai déjà appelé pour deux hélicoptères d’attaque et des renforts terrestres, mais ils seront pas là avant un moment…
-ESPECE DE PAUVRE MERDE !!!’’

Il attrapa sa radio, et la balança sur un mur, avant de s’accroupir derrière une fenêtre. Son frère l’appela :

‘’Hey, ils nous demandent d’aller nous faire foutre ?
-Plus ou moins, frérot…’’

Encore plus de Butariens arrivaient, et encore plus de munitions étaient gâchés. Une roquette atteignit la grange

‘’BORDEL ! Troisième section, dans la maison, vite ! Déployez des fumigènes !’’

C’est ce qu’ils firent. Ils envoyèrent des grenades, et occupèrent la maison en moins de deux. La grange reçu une deuxième roquette, et s’embrasa.

Marco était en train de perdre beaucoup trop de sang, et devait être évacué. Tom demanda à ce que tout le monde compte leurs chargeurs thermiques. Le nombre variait entre 2 et 7. Une mitrailleuse était a sec.

Tom demanda a ce qu’on partage les chargeurs, arrivant en priorité aux trois mitrailleurs et a Novak, pour qu’il fasse le tireur d’élite.

Ah, Novak… Lui aussi était un peu idéaliste, et il avait vraiment la trouille, quand on regardait dans ses yeux… Le pire, c’est que c’était totalement normal, et personne ne lui en pris rigueur.

La maison était cernée, et les soldats avaient peine à les repousser. Alors qu’on tirait sur les butariens près des jeeps de la route et ceux sur la colline, il fallait maintenant tuer des ennemis qui étaient juste devant, a peine à cinq mètres. Tom récupéra sa radio, et continua d’appeler :

‘’Command, ici Lobster… On a presque plus de munitions… Je… Je vous en supplie, où sont nos renforts ?
-Lobster, ici Command, les hélicos seront à votre contact dans vingt minutes, les forces terrestres dans trente… Vous pensez tenir d’ici là, fiston ?’’

Une grenade roulait aux pieds de Zanovich. Son frère le regarda, et lui hurla de courir. Tom s’exécuta, et la grenade explosa.

Tom se trouvait à l’extérieur de la maison, mais il y avait tellement de fumée aucun butarien ne lui tira dessus. Tous ses soldats sortaient de la maison en flamme, et ils se retrouvaient juste devant, au milieu de débris servant de couvertures et de fumée compact. Tom, qui était un peu dans les vappes, regarda ses hommes tirer, et courir à travers le sorte de trou dans lequel ils étaient. Marco pissait le sang, au sol, et Dexter reçu une balle à l’épaule. D’un, il y avait maintenant huit blessés, dont trois graves. Il entendit alors Terrence sortir une phrase :

‘’Dernier chargeur !
-C’était le dernier pour moi aussi !
-Cera, prend ça, chaque tir compte !
-Plus de balles !’’

Les tirs de ses hommes s’arrêtèrent. Ils avaient utilisés les chargeurs thermiques de leurs pistolets pour leurs fusils, et maintenant, ils n’avaient rien. Ils avaient balancé toutes leurs grenades, et n’avaient plus que leurs couteaux. Dass, allongé sur le dos, lança son fusil a ses pieds. Il n’y avait que quelques tirs sporadiques venant d’eux, et cela suffit pour convaincre les butariens de foncer. Tom pris sa radio :

‘’Command, ici Lobster… J’ai… Nous… Et… Ca ne sert plus a rien d’envoyer des renforts. Il y a bien trop de butariens, et on a quasiment plus de balles… Je vous indique nos dernières coordonnées, bonne chance aux autres soldats, qu’ils s’en sortent mieux que nous…’’

On attrapa les cadavres butariens proches, on sorti leurs chargeurs thermiques. C’était bien trop peu pour tenir, mais assez pour faire un baroud d’honneur mémorable

Ils tirèrent dans tout les sens, chaque tir comptant. Même les mitrailleurs faisaient des économies de balles, plutôt que de faire de simples tirs de suppression. Les Butariens arrêtèrent d’avancer, et se contentèrent de tirer. Terrence pris une balle dans le crâne, et mourut sur le coup. On lui pris ses cartouches thermiques, et on continua de tirer. A terre, Marco avait rendu l’âme. Cera, se levant pour faire un tir sur des butariens fuyant vers une couverture, reçu six balles, dont une qui passa le bouclier et le gilet, et se logea dans son épine dorsale. Au bout de dix minutes, tout le monde était blessé ou mort. Il ne restait plus que Tom, Dass, Novak, Alexeï et Amron, les 5 vétérans, ainsi que Paul et William. Vingt minutes passèrent. Les 7 hommes tiraient sur les butariens approchant, tandis que les blessés se traînèrent, ramassèrent les corps les plus proches, en tirèrent les cartouches thermiques qu’ils envoyèrent.

Tom entendit sa radio :

‘’Lobster, ici Marteau. Nous sommes sur votre position, dites nous où tirer, et nous le ferons…
-Marteau, bordel… Ici Lobster. On va pas vous dire où tirer, on va vous dire où ne pas tirer… Novak, envoie une fumigène verte.’’

Novak extirpa une grenade, qu’il dégoupilla tout en la tenant. Au bout de quelques secondes, la fumée monta au ciel, et deux hélicoptères apparurent

‘’Bien reçu, tir au 30mm sur toutes les cibles’’

Tom et ses hommes s’arrêtèrent de tirer. Les hélicos envoyèrent des roquettes sur les butariens de la colline, brûlaient les bois, et en quelques minutes, il n’y avait que les bruits des pâles des hélicos :

‘’Tu en vois encore Mike ?
-Nop, on a tout nettoyé…
-Bien. Lobster, ici Marteau. On va rester dans le secteur en attendant les renforts. Ce serais con qu’ils reviennent.
-Entendu Marteau… Faites gaffe, la route est minée.
-Lobster, ici Command, vous avez quelque chose a signaler ?
-C’est bon, on est en sécurité, mais on a de lourdes pertes…
-J’ai des médecins qui arrivent dans trois minutes, restez en sécurité d’ici là… Terminé.’’

Booker s’allongea sur son mur. Son frère le regardait étrangement

‘’Quand je parlais de Torfan, tu sais comme moi que je parlais pas de ça…
-Je sais, tu me parle de la vengeance qui a suivi…’’

La porte de sa cellule s’ouvrit, et un geôlier en uniforme, accompagné d’un médecin, entra. Il resta fixe, la bouche ouvert :

‘’Comment tu t’es retiré de ta chaise ?’’

je sais pas pourquoi mais j'aime pas

leur façon de parler trop ampoulée peut-être ?
Y z autre chose mais j'arrive pas à dire quoi

Fai Dan.....
C'est pas le gars qui se suicide dans me1 ?
Il s'est tiré une balle dans la tête donc son cerveau doit plus vraiment être étudiable.

ampoulée c'est à dire
Ouais pour Fai Dan c'est pas vraiment le cerveau mais ce qui à dedans qui compte trou ou pas trou.

J'ai repéré une erreur et peut-être une deuxième.

Déjà, la biotique de Shiala est instable et de ce fait, elle ne peut plus bien utiliser ses pouvoirs à cause de l'interraction avec le Thorien

Et les krogans ont, je crois, deux systèmes nerveux. Wrex le dit si je me souviens bien

ampoulée = manièrée, soutenue, ...
Je veux bien qu'Ocelot soit intelligent mais il a pas besoin de parler à ses gars comme un prophète aux mortels. Et puis y a pas que lui qui parle de façon ampoulée ( je t'ai appris un nouveau mot )

Bon, ceci étant dis, tu a le droit de critiquer le dernier chapitre de Dante

Sporadiquement instable ne veut pas dire totalement

Et le codex à propos des Krogans est clair ils n'ont pas de système nerveux c'est un réseaux à travers le corps qui empêche la paralysie dans le sens humain du terme

Tiré du wiki
Étant totalement dépourvus de système nerveux, ils se ne retrouvent pas décentrés par la douleur. À la place, se tient un circuit électrique conducteur de circulation secondaire. Par conséquent, un Krogan ne pourra jamais être paralysé : il perdra certes un peu de fluide, mais il pourra au besoin être remplacé.

Ah c'est vrai que j'ai l'habitude d'écrire de manière soutenue les cours de français ça reste gravé à force 'même si la dernière partie est assez fumé pour moi à la braveheart'. voir un peu trop téléphonée

Pour Dante à part me rappeler Calogero j'ai beaucoup aimé et j'ai vraiment envie de voir la suite .

Krikr: tu me fais passée pour un intello à jouir( ) quand tu m'apprends un mot