Ouais, on veut la suite, Peil, c'est dûr de tenir sans
Peil... Je veut la suite où je vais commettre un meurtre !!!
Suite aujourd'hui sinon
Une suite c'est long à écrire, et je donne priorité à mon travail, si j'en est. Ca ne sert à rien de réclamer. Une suite arrive quand elle doit arriver.
Chapitre 26 :
Armand Nerricus s’agenouilla. Il faisait nuit, mais l’endroit était suffisamment dégagé pour que la lueur blafarde de la Lune éclaire les environs, et révèle à l’Impérial les multiples traces qui constellaient le sol boueux.
Des traces animales.
Derrière lui, Faen contemplait le massacre.
Deux ours et leurs petits gisaient là, au détour d’un chemin. Atrocement mutilés.
Armand se retourna et posa les yeux sur la scène.
Ce n’était pas une arme humaine qui avait fait ça. Armand avait passé sa jeunesse à combattre. Certes, il n’avait jamais pris part à une véritable bataille, mais les duels de cour et les joutes étaient son pain quotidien, et les escrimeurs venaient de partout pour le défier.
Alors des blessures par l’épée, il en avait vue. Par la hache, la massue, l’arc ou la lance également. Mais ça, ça ne ressemblait à rien. Même pas à ce qu’aurait fait une bête sauvage. Il avait beau observer les cadavres des ours, il ne repérait nulle trace de griffure ou de morsure.
Le ventre littéralement déchiré et les organes éparpillés tout autour de lui, le plus gros ours était celui qui avait sans doute le moins souffert. Ses petits avaient eu la tête écrasée, les pattes arrachées, les entrailles vidées… Quant à l’autre ours adulte, un peu moins large que le premier, sans doute une femelle, il avait eu la tête retournée, comme si on lui avait violemment tordu la nuque.
C’était une boucherie peu commune.
-Qui est-ce qui a fait ça, à ton avis ? demanda Armand à Faen.
Le Dunmer, loin de s’émouvoir du carnage, se frotta le menton.
-Ça ressemble à ce qu’on a trouvé il y a quelques jours de ça, tu te souviens ? La meute de loup qui s’était fait décimer.
-Oui, je m’en rappelle. Il y en avait au moins trente.
-Je n’ai jamais vu quelque chose de semblable, en tout cas.
Oui, ils étaient d’accord là-dessus.
Le Dunmer se pencha sur le corps d’un ourson. Il fronça les sourcils.
-Je dirais que ça a été fait… à mains nues.
Armand Nerricus se demanda un instant si c’était une blague. Voyant l’air sérieux de Faen, il préféra s’en assurer.
-Tu plaisantes ?
-Pas le moins du monde. Regarde, leurs crânes ont été broyés contre le sol, comme si un poing les avait martelés frénétiquement. Et leurs squelettes sont en charpie, complètement disloqués. On dirait qu’on les a frappés violemment.
-« Frappés violemment » ? Même un boulet de canon ne les aurait pas mis dans cet état.
-Tu vois autre chose ?
Armand dut reconnaître que le Dunmer avait raison. Mais quel genre de monstre serait assez puissant pour massacrer une famille entière de gigantesques ours sauvages… à mains nues ? C’était inhumain.
Faen se redressa et épousseta ses vêtements. Il lança un regard à son compagnon qui le fit frissonner.
-Restons prudents, intima-t-il d’une voix douce. Je ne sais pas qui ou quoi a fait ça, mais les cadavres sont encore chauds.
-Tu en es sûr ?
-Ils n’ont même pas commencés à pourrir.
Armand se passa la main dans les cheveux. Effectivement, il allait falloir être prudent. Car s’il tombait sur la chose qui avait commis ce carnage, il n’était pas certains d’en sortir vivant. Des ours… à mains nues… dans cet état.
Ils n’avaient même pas été dévorés. Juste tués. Comme si le coupable avait voulu se défouler. Il se dégageait de la scène une rage immense, ou plutôt… une intense folie.
Faen se remit en marche. Armand remarqua que ses mains tremblaient légèrement. Il fronça les sourcils.
-Tu as peur ?
La Dunmer remarqua ses tremblements et saisit ses mains pour les faire cesser de bouger. Un sourire se dessina sur son visage.
-Peur ? Non. Je tremble d’excitation.
Il se remit à avancer. Armand le regarda s’éloigner, stupéfait. Non, décidément, ils ne vivaient pas dans le même monde. Cela faisait un peu plus d’une semaine qu’il voyageait avec Faen et il n’avait qu’une seule envie : lui fausser compagnie.
Mais comment ? S’enfuir ? Faen parviendrait à le rattraper aisément. Le combattre ? C’était une possibilité qu’Armand avait tout d’abord envisagé, mais plus le temps passait, plus il doutait de ses chances de victoire.
Le Dunmer se mouvait avec une grâce hypnotique. Ils n’avaient rencontrés que peu de participants, depuis qu’ils étaient ensemble, mais la façon dont Faen les avait occis… Armand en frissonnait encore. Et pourtant, le jeune Impérial n’était pas impressionnable.
Il reprit sa route, suivant Faen qui commençait à disparaître dans les bois.
Le Dunmer n’était pas très bavard. Et les seules fois qu’il ouvrait la bouche, c’était pour lancer, d’une voix tranquille, des remarques sur le ciel étoilé, la fraîcheur du vent, ou le silence de la nature. Des propos qui mettaient Armand profondément mal à l’aise.
Il ne parvenait pas à cerner son compagnon. Parfois, Faen avançait d’un air enjoué, en sifflotant. D’autre fois, il affichait une mine grave et fermée pendant des heures, comme s’il était perdu dans ses pensées.
Un jour, Armand avait essayé de lui adresser la parole à ce moment-là.
Le Dunmer avait sursauté, tiré de sa rêverie, puis, instantanément, avec la vitesse d’un fauve à l’attaque, il avait bondit sur Armand. L’Impérial, avec une vivacité exceptionnelle, avait tiré sa rapière hors de son fourreau. Il avait frappé pour se défendre.
Mais Faen avait esquivé le coup avec une facilité déconcertante et était passé dans son dos. Trois fines et longues aiguilles étaient apparues entre ses doigts. Il en avait posé la pointe sur la gorge d’Armand. Alors, il s’était ébroué, et avait donné l’impression d’enfin comprendre la situation.
Armand avait déglutit. Faen avait simplement rangé ses aiguilles à sa ceinture et s’était excusé avec un sourire navré. Avant de naturellement se remettre à marcher.
Ils n’avaient pas reparlés de l’évènement –et visiblement, Faen l’avait oublié cinq minutes après- mais Armand n’avait plus jamais dérangé le Dunmer lorsque celui-ci était plongé dans ses pensées.
Un rugissement retentit soudain.
Faen et Armand se stoppèrent. L’Impérial avait à moitié dégainé son épée. Faen, lui, n’avait pas bougé.
Il se contenta de scruter les bois.
Alors Armand leva la tête et regarda, au loin, un grand rocher qui se dressait au-dessus de la cime des arbres. Une silhouette était apparue à son sommet. Noire, elle contrastait particulièrement avec l’astre lunaire, derrière elle.
Elle était humanoïde. A mieux y regarder, c’était même un homme. Non… Un Orque.
A deux ou trois kilomètres de distance, il fallait avoir de bons yeux pour repérer ce genre de choses.
L’Orque écarta les bras et adopta une posture peu humaine. Il évoquait… un animal. Le dos rond, les genoux fléchis, la tête rentrée dans les épaules, et les bras grands ouverts, comme un singe qui s’apprêterait à se marteler la poitrine.
L’être leva la tête vers le ciel et hurla.
Ce qu’Armand avait pris pour un rugissement était son cri. Un cri déchirant, de colère et de souffrance mêlée. Deux voix semblaient hurler en même temps. Une voix d’Orque et une voix… étrange. Bestiale.
Alors l’Orque baissa les bras et bondit du rocher, dans la direction contraire à celle de Faen et Armand, leur tournant le dos.
Il disparut dans la nuit.
L’Impérial resta silencieux. Il n’osait plus faire un seul bruit. Pourtant, le rocher sur lequel se trouvait l’Orque quelques secondes plus tôt se dressait à trois kilomètres de là, alors il y avait peu de risque qu’il entende quoique ce soit.
A ses côtés, Faen avait gardé une immobilité effrayante. Pas une seule expression ne passa sur son visage lorsqu’Armand se tourna vers lui.
-C’était quoi, ça ?
Il remarqua que les tremblements de ses mains avaient repris. Faen se força à les stopper. Il sourit, comme il l’avait fait précédemment.
-« Ca » ? répondit-il à Armand. Qu’est-ce que j’en sais ?
-En tout cas, vous pouvez vous estimer heureux que le vent souffle de façon à ce qu’il ne sente pas votre odeur. Sinon, vous seriez morts.
La voix avait retentie derrière eux. Faen et Armand firent volte-face.
Un homme, un Bosmer, se tenait assis en tailleurs sur une souche d’arbre, à une dizaine de mètres d’eux. Sa peau était pâle, presque blanchâtre, et ses longs cheveux argentés retombaient sur ses épaules en une multitude de tresses.
Il portait des vêtements légers, intégralement gris, excepté ses bottes et sa cape qui étaient noires. Ses mains fines aux doigts longs tenaient un luth de fort bonne qualité, d’un bois noueux et brillant, recouvert de vernis, et orné de pierres précieuses.
Son œil droit était vert, et l’autre bleu, ce qui donnait à son regard quelque chose de mystique, d’hypnotisant. Il avait le visage lisse et la bouche fine.
Armand remarqua qu’il portait un collier de perle autour du cou, de façon très voyante. Il concourrait donc à la Grande Marche. Mais seuls deux types de participants portaient leurs colliers de façon aussi ostentatoire : Les débutants, et les vétérans qui n’avaient aucunement peur qu’on le leur vole, puisqu’ils étaient certains que personne n’était capable de leur voler.
Pourtant, même si Armand avait regardé de nombreuses éditions de la Grande Marche, et ce depuis son plus jeune âge, dans le château de ses parents, il n’avait jamais vu cet individu.
Il se dégageait quelque chose de lui qui rendait instantanément mal-à-l’aise. Une aura macabre qui lui collait à la peau. Le jeune homme avait croisé beaucoup de tueurs dans sa vie, avec le sang d’un nombre incalculable de personnes sur les mains, mais aucun ne lui avait donné cette impression.
Celui d’un homme qui sème les graines de la mort et en mange les fruits avec délice.
Mais depuis quand se tenait-il là, à les regarder ? Et pourquoi Faen et Armand ne l’avaient-ils pas repéré ?
Trop éberlué pour parler, l’Impérial resta muet. Ce fut Faen qui prit la parole, d’une voix étonnamment tranquille :
-A qui avons-nous affaire ?
-Mon véritable nom importe peu. Pour la course, je réponds à celui de l’Ombre.
Si la voix du mystérieux personnage avait été un aliment, elle aurait été du miel. Douce et onctueuse. Presque mélodieuse. Il sourit légèrement.
-Vous nous suivez ? demanda Faen.
-Non. Absolument pas. Je suis simplement tombé sur vous par hasard.
-Cet Orque, fit Armand, c’était…
-Un homme qui souffre. Rongé par un mal profond. Si vous voulez vraiment savoir de qui il s’agit, il se nomme Barahk Gro-Tragnan.
-C’est… C’était lui ? C’était lui, Barahk ? Mais que lui est-il arrivé ?
-Ca… Il y a bien des façons de souffrir, jeune homme. Mais ne vous inquiétez pas, il est loin. Il ne s’en prendra pas à vous.
L’Ombre fit glisser son index sur les cordes de son luth. Une agréable suite de notes résonna dans l’air nocturne. Le Bosmer se leva. Armand se mit instinctivement en garde, mais Faen ne bougea pas. Il était impressionnant de voir à quel point le Dunmer pouvait être décontracté, dans n’importe quelle situation.
Pourtant, Armand le sentait prêt à entrer en mouvement au moindre signe d’agressivité de la part de l’Ombre.
-Et maintenant ? demanda Faen en penchant la tête sur le côté. Que se passe-t-il ? Chacun se salue et poursuit sa route ?
Plutôt que de lui répondre directement, l’Ombre caressa le bois de son luth, d’une façon malsaine. Ses yeux étaient braqués sur l’instrument.
-J’ai ramassé cet objet sur le cadavre du dernier participant que j’ai croisé, dit-il d’une voix langoureuse. Juste après l’avoir tué. Je pensais que cette course serait aisée, mais s’il y a quelque chose qui me pèse, c’est bien la solitude. La seule chose que j’ai entendu, depuis le début, c’est les cris d’agonie de ceux qui ont croisés ma route. C’est… triste.
« Encore un fameux numéro, pensa Armand. On dirait que la Grande Marche rassemble tous les malades de Tamriel. »
Le Bosmer continua à caresser son luth pendant quelques secondes, avant de resserrer brusquement ses doigts. Le bois craqua avant que l’instrument n’explose sous la pression. Les morceaux du luth retombèrent lourdement sur le sol, un à un.
Armand avait tressaillit, et cette fois, entièrement tiré son épée hors de son fourreau. Faen, stoïque, resta immobile. Pourtant, contrairement à son habitude, il fronça les sourcils.
L’Ombre contempla les morceaux du luth, à ses pieds.
-L’être humain est… tellement fragile, murmura-t-il sur un ton peiné. Si fragile… On peut le briser aussi facilement qu’un instrument de musique.
Il y eut un long silence. Une goutte de sueur coula le long de la tempe d’Armand.
« Si ce taré tente quoi que ce soit, je le tue, se dit-il. Et je ne cherche même pas à réfléchir. »
Néanmoins, l’Ombre releva les yeux. Un sourire avenant barrait son visage.
-Je cherche des compagnons de voyage. Jusqu’à maintenant, tous ceux que j’ai voulu aborder étaient trop faibles. Nyriac Brun-d’Or, Edmond Saltuit, Artheys Masküm, Kozak le Superbe, Doigts-Noueux…
Citait-il des participants qu’il avait tués ? En tout cas, il y avait des noms connus, dans la liste. Artheys Masküm, le célèbre sorcier Altmer, ou Doigts-Noueux, l’ancien meurtrier Argonien dont la tête était placardée partout dans le Marais Noir. Armand avait entendu qu’ils participaient, eux-aussi. Si l’Ombre les avait effectivement assassinés, ce n’était pas n’importe qui.
-Vous, vous n’êtes pas comme eux, dit l’Ombre. Je suis sûr que l’on peut s’entendre. Qu’en dites-vous ?
-Qu’en dites-vous quoi ? fit Armand. Voyager avec nous ?
-Oui. Partager un… bout de route.
-Pour nous tuer ensuite ?
-C’est un risque à prendre. Si vous vous avérez ennuyeux.
Armand se tourna vers Faen. Celui-ci avait gardé le silence. Il toisait maintenant l’Ombre en se frottant le menton.
Finalement, il ouvrit la bouche.
-La question est de savoir si tu nous seras utile ou non, fit le Dunmer. Et si les personnes que tu prétends avoir tué l’ont vraiment été. Tu ne serais pas le premier menteur que je croise. Nous ne voudrions pas nous encombrer d’un boulet.
Le Bosmer aux cheveux argentés se gratta la tête.
-C’est vrai. Peut-être que je devrais vous montrer quelque chose pour vous convaincre?
Il se pencha en avant et ramassa un morceau du luth. Ses longs doigts pâles se refermèrent sur le bout de bois et le levèrent à la hauteur de ses yeux. Alors, de la vapeur commença à s’élever au-dessus du débris. Une sorte de crépitement retentit, dans l’air, et puis tout d’un coup, le morceau de bois se mit à fondre.
Des bulles se formèrent même à sa surface, alors qu’il devenait une sorte de magma visqueux, et qu’un filet de fumée s’élevait au-dessus de la main de l’Ombre.
Finalement, il lâcha le débris. Celui-ci alla s’écraser au sol sous la forme d’une flaque, encore fumante. Elle dégageait une odeur atroce. L’Ombre essuya sa main sur son pantalon.
-Ça marche aussi avec une tête humaine.
Faen ôta la main de son menton et reprit son air enjoué habituel.
-Tu es pris, dit-il d’un ton avenant. Bienvenu parmi nous, l’Ombre.
Voilà ! On tiens notre meurtrier du début de l'histoire
la Marche promets d'être sérrée
Quel personnage énigmatique. Ce chapitre met sur le tapis encore plus d'interrogations. Beau travail, je pense à une personne concernant ce Bosmer...
Merci Peil je vais avoir de quoi lire avant de me coucher ce soir
maintenant que j'y pense c'est surement barahk que roderick poursuit
Ah ouais , Barakh est vraiment devenu un caca sur pattes sans nom ! Si il se transforme en cette saloprie à 100%, il ne devrait pas être exclu de la Grande Marche ?
Aucune règle n'interdit à un participant de se transformer. Et dans son cas, c'est même pas volontaire. Pourquoi voudrais-tu qu'il soit disqualifié ?
Je dirais que Sandre et un vampire assez âgé mais pas assez pour contrôler ce qu'on peut appeler le masque humain que les vampire utilise pour se cacher et donc la couleur de ses yeux le trahis mais il utilise une potion pour remédier a sa .
je dirais que notre mystérieux bosmer n'est autre que le Serpent qui apparaît dans la précédente fic de Peil, car rappelons le
:spoil:
Il peut créer n'importe quels acide et poison avec son corps, et maîtrise parfaitement les sort d'Illusion pour pouvoir cacher sa difformité et sa laideur
fin de :spoil:
Peil bah il est pas humain le monstre qui l'habite !
T'imagine ce qu'il pourrait dire lorqu'il va gagner ?!
***
- Félicitation Monstre-Caca Qui A Surgit du Néant, autrefois Barakh gro-Machintruc ! Vous venez de gagner la Grande Marche ( après avoir violé, déchicté, bouffé tout les autres candidats ,car le verbe tuer ne suffit pas ) ! Quel est vôtre souhait ?
- Grapahnya grougroba grrr !
- Quoi ? Je ne crois pas avoir compris, très cher !
- Graaaaaaaaah ( traduction personne ne me comprend bordel ! Les loups, la famille Ours , les autres ... Tiens bouffe ça ! )
Une fin magnifique pour la Grande Marche
Je crois pas avoir encore décrit la nature de la malédiction de Barahk, ni son origine, ni la raison pour laquelle il se retrouve dans cet état, ni les facultés qu'il peut avoir quand elle prend le contrôle de lui, et on a bien vu que l'être qui semble l'habiter (je prend un maximum de pincette pour ne rien spoiler) est capable de raisonner et de s'exprimer de façon claire, puisqu'il parle à Barahk dans sa tête, donc le "Graphanya grougroba grrr !", euh...
Etant donné que vous ne savez encore rien là-dessus, c'est un peu tôt pour faire de telles conclusions.
Ouais t'as raison finalement
et cela m'intrigue de savoir quel sera le souhait de la bête
et aussi celui d'Edwin aussi
Au lieu de parler de l'autre Orque possédé fait nous une suite
Maxou il a droit de se reposer, non ?
Ah mais non ! Au travail
j'deconne Peil, prend tout ton temps
Non il dois bosser Tu suis pas La fic de Oups toi ?
Maxou ouais