18 ans après, Resident Evil 4 revient en force

Sorti il y a une vingtaine d'années, le Resident Evil 4 de 2005 avait déjà été accueilli à bras ouverts par la critique : des notes presque toutes situées entre 18 et 20 à l'époque, de la part des médias mais aussi des joueurs. Dans cet épisode, pas de Raccoon City, mais une ville perdue en plein cœur de l'Europe. Et surtout, une prisonnière à retrouver : Ashley Graham, la fille du Président des Etats-Unis (rien que ça...).

Lance-roquettes, fusil d'assaut, pistolet mitrailleur, et bien d'autres... Tout l'arsenal de Leon S. Kennedy va y passer afin de se défaire de la menace qui plane sur la jeune fille et sur les habitants du coin. Et par la même occasion, l'agent spécial américain va se faire un plaisir de déjouer un complot visant à atteindre le Président des Etats-Unis en personne. Pour ce faire, il aura bien besoin de l'aide de certaines connaissances sur place, comme Luis Sera ou encore Ada Wong.

A quel point connaissez-vous le Resident Evil 4 de 2005 ?

Bien plus orienté "action" que ses prédécesseurs de l'époque, Resident Evil 4 (2005) profite d'une maniabilité complètement repensée. Le joueur a un choix d'actions potentielles bien plus grand, et des QTE sont parfois nécessaires pour mener des actions à bien, renforçant l'immersion au cœur de la mission. De même, pour éviter les temps de chargement intempestifs qui ruinent un peu l'expérience joueur, Resident Evil 4 n'en lance qu'à chaque apparition d'une nouvelle "grande" zone. Un gain de performances vraiment pas négligeable pour l'époque.

Dernière chose mais non des moindres : c'est aussi le premier jeu de la saga à offrir une vue à la troisième personne, avec une caméra positionnée au-dessus de l'épaule du héros. Bien évidemment, cela deviendra la norme pour les épisodes suivants étant donné le succès rencontré par cet opus, qui s'est vendu à plus de 10 millions d'exemplaires depuis.