L'année 2020 de par sa situation particulière a été sous le signe du jeu vidéo pour une grande partie de la population. Pour cette fin d'année les équipes de la Rédaction, de la Communauté et du Stream vous livrent leur bilan vidéo en cette aube de la nouvelle génération de consoles.
Pour Jay, 2020 a été propice à la pratique du jeu vidéo. Il estime que c'est le média idéal pour s'évader, se changer les idées et parcourir de nouveaux univers lorsque le contexte oblige les joueurs à rester chez eux.
Il commence son bilan de l'année par la résurrection des jeux de bagarre. Tout d'abord, la parution de Streets of Rage 4, opus attendu par les fans qui a su perpétuer l'esprit des trois premiers épisodes parus au début des années 90. Il enchaîne avec la saga Yakuza, qui a pris un virage payant : le septième titre de la série présente un nouveau héros et remplace son système de combat avec du JRPG au tour par tour. Enfin, il salue Mortal Kombat 11 qu'il considère comme le jeu de baston de la huitième et de la neuvième génération de consoles.
Mais pour Jay, 2020 est aussi l'année d'adaptations moyennes de japanimation. Outre Captain Tsubasa : Rise of New Champions et Persona 5 Royal, les fans du genre sont restés sur leur faim. Jay considère que Dragon Ball Z Kakarot, Fairy Tail, One Punch Man : A Hero Nobody Knows et My Hero : One's Justice 2 ont tous apporté du fan-service sans révolutionner le genre.
Pour conclure, il estime que c'est Divinity : Originial Sin II qui est le jeu du confinement. Le titre de Larian Studio est jouable à deux en local, comporte plus de 150 heures de jeu et demande une coopération permanente entre les deux joueurs. Conjugué à un univers d'heroic-fantasy, le RPG occidental est parfait pour s'évader en 2020 selon Jay, même si le titre est paru en 2017.