En juillet 2019, nous apprenions qu'un joueur californien du nom de Ryan Diaz avait déposé un recours collectif contre Nintendo, affirmant que la firme vendait les Joy-Con tout en sachant qu'ils pouvaient être défectueux.
Avant toute chose, rappelons que le Joy-Con Drift est un problème affectant les contrôleurs de la Nintendo Switch, créant des mouvements de caméra ou de personnages non désirés. En ce qui concerne notre affaire, une rédactrice du site Top Class Action indique que le juge Thomas S. Zilly a en partie donné raison à Nintendo, qui demandait à régler le litige grâce à un artibrage extérieur.
Cependant, il a débouté la société nippone sur le classement de l'affaire, puisqu'elle pourra de nouveau être présentée devant un tribunal en cas d'échec des négociations. Les deux parties doivent donc se rencontrer, essayer de prendre une décision, puis la transmettre à la justice sous deux semaines, au plus tard avant le 31 décembre 2020.
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