La vraie force, c'est de continuer à être gentil dans ce monde à moitié fou. Si le peuple est confronté à des problèmes les dépassant, il devient méchant et fou. Or, c'est ce même peuple qui fait tout ce qui est bien en ce monde. Les figures démocratiques se doivent donc de ne pas sombrer dans la folie du peuple, mais à porter ce peuple vers la raison. Est-ce que cela est ce que font les figures démocratiques ? C'est à discuter. Personnellement, je pense que la raison est bien défendue, mais que cela ne tient qu'à un fil.
Le cœur d'un pays n'est pas le nom que porte son système, mais l'intégrité de son peuple. On ne peut pas évaluer cette intégrité si on s'étouffe de cette indépendance en devers-soi qu'une différence crée toujours. Il faut admettre une sagesse plus grande pour pouvoir juger et avoir raison. Et le jour où tous les peuples pourront cultiver leurs paisibles vies eux-mêmes, les despotes feront faillite.
Le plus important dans un système de justice, même si peu en sont conscients, n'est pas la sentence ou la force de répression, mais la capacité dudit système à concilier le peuple parmi lequel il s'applique, et ce, par le simple fait de son existence. Le plus important n'est donc pas la justice en elle-même, mais les idées qu'elle représente. Il faut donc comparer ces idées représentées et choisir celles permettant la plus grande intégrité individuelle possible aux individus parmi lesquels cette justice s'appliquera.
La base base base de tous les problèmes humains de nos jours vient du fait que certaines personnes cultivent une croyance pour les inégalités. Que ce soit le nazisme, le judaïsme avec son concept de « peuple élu » ou l'islam avec ses « intouchables », dès qu'un groupe important d'humains désigne une différence concrète entre les humains et cultive cette différence de par des pensées magiques, ce groupe devient criminellement coupable d'empêcher l'humanité de s'organiser et de se discipliner pour sa propre survie : point ! SI cela est nécessaire pour notre survie, nous pouvons attaquer les idées d'inégalités qui existent jusqu'à ce qu'elles cèdent : nous en avons le droit.