Bien le bonjour !

J'ai une question simple : les concurrents IA, possèdent ils une fortune propre, qui fonctionnent comme celui du joueur, ou bien ils ont une fortune "illimitée" dont ils se servent selon des critères prédéterminés.

L'intérêt de la question?
Dans le premier cas :
- Si j'achète une maison à un concurrent pour 200K, cela lui permettra d'en construire une vingtaine par la suite. Donc c'est stupide de le faire.
- Inversement, je peux le ruiner en lui faisant fermer toutes ses boutiques et en détruisans systèmatiquement ses convois.

Dans le second cas :
- Je peux acheter tous ses bâtiments si j'en ait l'argent, cela ne changera rien à son comportement futur.
- ça ne sert à rien que je m'acharne à jouer le pirate juste pour lui nuire.

Quelqu'un à une idée du cas qui s'applique dans le jeu?

non aucune idée

Le principe n'est pas le même dans Patrician 4 et dans le 3. Dans le 3, en quatre ou cinq ans j'étais parvenu à éliminer mon adversaire direct en coulant tous ses navires et en exerçant une pression forte et constante sur lui : navire sortant du chantier naval aussitôt coulé ou volé, manufactures rachetées à prix dérisoires ou poussées à la fermeture, ...
Dans le 4, comme tu le dis, les rachats de manufactures coûtent un bras et surtout tu ne peux pas voler les navires de tes concurrents. Au mieux tu les pilles !
Je me suis rapidement posé cette question et j'avoue qu'à l'heure d'aujourd'hui, je n'ai toujours pas la réponse mais je peux affirmer que c'est beaucoup plus dur de forcer un concurrent à mettre les clefs sous la porte dans le 4.

Infernales salutations

bonjour,
dans le patrician 4, j'ai un comptoir dans la ville de Cologne , j ai pas mal de vigne et je revends bcp de marchandise que mes con-curant produise a perde.

exemple, un qui produit du sel, je ramène du sel a crevé que je vends a perde, lui il rale et doit fermé sa production, je les rachetées pour une bouchée de pain, et quand je les ai toute prise, je ramène plus rien, je les remets routes pour revendre avec un petit bénéfice ( le sel, pas l'entreprise).