Est-ce qu’il n’y a que moi qui trouve que L’ouvrier a soit le QI d’une huître pas fraiche?
Je ne sais pas d’où il sort mais faisons un petit inventaire :
1- l’ouvrier dans un champs non rectangulaire:
Capable de considérer que son travail est terminé parce que les bords du champs sont en angle.
Incapable de regarder l’état du champs ou l’avancement du contrat.
Ca ne l’empêche pas de mettre l’engin dans la position de travail mais s’arrête juste avant.
2- L’ouvrier en Mois-Bat est bloqué par un objet.
Nature de l’objet: la barre de coupe
Incapable de relever sa barre de coupe quand le terrain remonte un peu.
3-L’ouvrier manoeuvre un engin.
Autant quand il arrête de bosser en plein milieu du champs, on se dit qu’il n’a pas envie de bosser, autant quand on le voit Manoeuvrer, on se dit qu’il est payé à l’heure...
Où il abuse?
Le temps qu’il lui faut pour faire demi-tour,
Incapable de suivre une trajectoire parallèle à un bord de champs s’il n’est pas vertical, horizontal ou à 45 deg sur la carte.
Les marche arrière sur 300m pour je ne sais quelle raison et tant qu’à faire avec un endaineur en marche dans un rang de foin,
Et le meilleur, les longues manœuvres de fin de chantier qui ne servent à rien!!!
Il est capable de traverser un champs entier en marche arrière avec un engin au cul alors que le travail est fini!!
4- pas foutu de ramener un engin à la ferme ou sur un chantier tout seul!!!

Je suis le seul à penser qu’il lui faudrait quelques neurones
il faudrait Vraiment qu’ils bossent un peu dessus Non?

Ha oui et j’oubliais cette faculté à faucher de l’herbe avec le 1/4 de la longueur de coupe disponible quand il a un endaineur au cul...
C’est beau d’être payé à l’heure...