Un J9 d´enragés pour ce dep´ en terre picarde, avec à son bord 7 Armata , 1 jeune sympathisant et 1 BP égaré qui se rappelera longtemps ce périple.

RDV 6h30 pour un petit déjeuner gagnant made in "Cévennes". On récupère Maxime et on décolle de notre chère terre héraultaise sur les coups de 8h00. Dès son arrivée dans le J9 Maxime se fait remarquer par un "il est où le J9 BP ?" , si vous le voyez appelez Maxime.

La route sera agrémentée de diverses stations, conduit par un Mango prost des grands jours au son de hardtek, variété française et legion88 (BEURK à vomir) dans une ambiance bonne enfant. 13h00 c´est l´heure de combler les estomacs gargouillants. Tandis que certains se contenteront d´une pomme au pied d´un arbre et de quelques bichocos (la chiasse !) d´autres s´en mettent plein la panse et s´enpiffrent les raviolis amoureusement préparés par la kaladze avec son réchaud magique.

On repart pour une arrivée en terre amiénoise aux alentours de 19h00. La potion magique est préparée en vitesse pour une arrivée au stade vers 20h00. Faute de sécurité locale on fonce en tribune bouteille en main pour une arrivée remarquée dans un stade de la licorne rempli de...joyeuses licornes. Les joueurs sont déjà sur la pelouse, on bâche et c´est parti pour ne rien lacher pendant 90 minutes. Le groupe est mené par un duo de capi ultra motivé j´ai nommé Army et la kaladze. Une première période de très bonne facture avec chants et agitation de drapeaux constants. Sur le terrain les pailladins résistent tant bien que mal en égalisant mais l´espoir ne dure pas longtemps avec le deuxieme but amienois juste avant la mi-temps. La deuxieme mi-temps repart un peux moins fort que la première mais reste très correcte. Sur le terrain notre équipe coule puis sombre, pourtant en tribune on lachera rien jusqu´au coup de sifflet final sur le score de 4 buts à 1 en faveur d´amiens. Pionnier et Mendy viendront offrir leur maillot tandis que les neuf autres se précipiteront au vestiaire. Malgré l´approche du national l´ironie est de mise avec des "on a gagné, on a gagné !" victorieux. On quitte la licorne avec la satisfaction de n´avoir rien lâché et la fierté d´avoir représenté nos couleurs.

Puis, réunion de crise aux abords d´une cité amienoise : le reservoir est vide et on a que 50 euros en poche pour rejoindre montpellier. Tigrou se retourne le cerveau et trouve l´idée du siècle (beau symbole pour le 100ème dep ARMATA) : on embarque Saïda sur Paris et on la fait racker pour rentrer. Aussitot dit aussitot fait, on part direction Paname. Army en profite pour sortir itempestivement du J9 et courir sur l´autoroute au niveau du péage. Arrivée sur paname il est 2h00 du mat. Porte de saint ouen, porte de clignancourt, porte de la chapelle, toujours pas de porte d´orléans. Lassés par les explications vaseuses de saïda on décide de l´attendre à porte de la chapelle. La c´est plutot chaotique, certains dorment, certains partent chercher un kebab, la kaladze coule un bronze dans un jardin à sdf... saïda arrive dans une fourgonnette conduite par son (sa ?) colloc´. On suit ce barjot du volant qui faillit se tuer sur le périph. on récupère les affaires de saïda (au bas mot une dizaine de gros sacs) et on file direction l´herault, il est 3h00 du mat.

Dans le J9 on passe en mode interdit au moins de 18 ans , en passant les details , aprés plusieurs centaines de Km de débauches , le minibus rentre vidé dans tout les sens du terme sur Montpellier

Armata Ultras-100éme dep

Par triple K.

cétté sympa se petit dep a amien

ah ok