Quand à moi, j´ai pas touché à ma chronique depuis mon retour, mais je pense quand même pouvoir la poster dès que possible

Saladin, tu peux poster ta chronique quand tu veux, n´attend pas mon final pour le faire ^^

Ptdr super-glandeur, fais ce texte, sinon on appelle Gay Fox, et tu t´en prendre plein le cul

Sans dec, si on pouvait finir Fox Down d´ici à la fin du mois, ce serait bien. Je dis la fin du mois en étant réaliste, pas besoin de penser de ralentire encore parce que je fais une estimation hein...

Au boulot!

Oui oui, mais faut pas pour autant bloquer les chroniques tant qu´on (je) n´a pas fini FoxDown. Ça serait con.

Bah si justement! Tout le monde doit être au même pied d´égalité, sinon quand tout le monde aura fini ses Chroniques toi tu commenceras les tiennes parce que t´aurais pas fait ton final! Alors bouge-toi les fesses et commence à faire ce texte.

(Trop gentil le Thundy non? )

Fichu Corn, tout ça, c´est à cause de lui
Puis, y a pas que moi hein, y a aussi Naked qui n´a pas fini ^^

Oui mais bon Nalked le fera en deux secondes, c´es tune conclusion qu´il veut faire surtout (en reliant celle de Locke si j´ai bien compris).

Et pis accuse pas Corn, ton denrier texte n´allait pas être le tout dernier quand même. Là tu traines depuis un moment fait un effort quoi.

Moi franchement vu l´entrain en ce moment ça me déprime... Bon OK c´est l´été et tout mais j´espère que ça va reprendre bientôt parce que là jsuis à ça de me barrer...

Foxdown aurait pu finir y a 3 mois à 3 textes prêt quoi. Même BW avait un meilleur rythme. C´est trop dommage.

• Ultimate_gamer0 profil

* Posté le 04 septembre 2007 à 22:36:08 avertir modérateur
* Oui mais bon Nalked le fera en deux secondes, c´es tune conclusion qu´il veut faire surtout (en reliant celle de Locke si j´ai bien compris).

Et pis accuse pas Corn, ton denrier texte n´allait pas être le tout dernier quand même. Là tu traines depuis un moment fait un effort quoi.

Hum... même avec des smileys, tu prend tout au sérieux toi, c´est pas possible...
Je suis pas un gamin pour rejeter la responsabilité.

Ben écoute franchement j´espère.
On a besoin de ton texte pour survivre.

L´avenir de la fic est entre TES mains !

Bah écoute, je vois pas en quoi.
Mon texte ne va rien changer vu qu´il est antérieur aux vôtres... donc bon, je vois pas en quoi ça pose problème de commencer les chroniques dès maintenant.

C´est pour éviter les futurs trous justement.

Si tu postes ton texte maintenant, tu pourra poster tes Chroniques suite aux notres directement. Si on créait un trop grand écart le topic avancera jamais après. Sino quitte le topic. Tu parles de ne pas rejeter la responsabilité en attendant tu cherches encore des excuses pour pas écrire.^^

Non, je cherche pas des excuses pour pas écrire, je cherche des solutions pour pas retarder encore plus le topic.
Et pour les trous, bah justement, c´est ce que je disais dans mon précédent post, ça ne pose aucun problème.

"Sino quitte le topic. "
Sympa...
Même au dix-millième degré...

Bon je poste ma conclusion. Excusez les fautes. : )

Naked Snake

Nous étions partis. La presque globalité de la base avait été rageusement soufflée. Beaucoup de mes soldats étaient morts au combat, et peu d’entre eux eurent la chance de finir carboniser en un instant. Même si je devais m‘exiler, et que Meryl voyait une partie de son rêve s’effondrer, nous n’en n’avions pas moins laissé nos valeurs se fondre dans cet échec que constituait cette opération. Les autorités allaient être dépêchées sur les lieux, un scandale médiatique et plusieurs enquêtes se concoctaient. Personne ne devait figurer nulle part, nous allions disparaître. L’on ne m’appellerait plus Colonel à présent, notre hiérarchisation n’existait que dans notre passé. Meryl, Cobra, Cornellius ; tous trois soumis à la vie. Consternés à vivre, condamnés à fuir et à combattre. Se délectant uniquement de l’air qu’ils respiraient toujours, de l’aube qui faisait surface à travers la forêt rougeoyante…de Fox-Hound. Naomi Hunter, Raphaël, innocents mais coupables. Coupables pour avoir servi la médecine, et pour une origine. Pliés à nous suivre, quel qu’en soit le prix.
Nous roulions à bord d’une rare Jeep estampillée du Renard. Lockheed, de son côté, embarquait toute son unité qui s’était postée non loin de la plus grande clairière du secteur suite à une conversation codec programmant cela. Je distinguais Nick, Falcon, Bullet, Chip, Craig, et à ma grande surprise, Hornet, le soi-disant traître de la bouche de Wiles (que je n’avais plus croisé depuis la première rencontre avec Ocelot). Notre voiture dérapa près de la leur en remuant la terre avec fugacité. La famille était réunie. Tout le monde descendit, et je m’éloignais avec Lockheed, rasant les brins d’herbe de mon feu territoire. Chacun vaquait à ses occupations de son côté. Il me semblait ironique de voir que le nuage cotonneux tout droit venu de la plus noire des nuits n’attirait pas les attentions. Il s’agissait peut-être de l’habitude des combats qui nous avaient durcis et métamorphosés. Pas pour moi néanmoins, pas cette fois. Ce tournant avait transcendé le fil de ma vie en deux : le passé était inéluctablement derrière, l’avenir assurément proche. Actuellement, j’errais dans un trou bombé d’incertitudes dont j’étais le raccordement.
- Que faire maintenant ? demanda mon compagnon, qui allait couper court avec la stabilité casanière relative à notre défunte organisation.
Mon regard balaya les arbres qui encerclaient notre clairière. La verdure est une chose peuplée par des millions d’espèces, résistantes ou fébriles. Mais parfois…des clairières venaient s’y glisser, où seule l’herbe plombaient le sol. Un espace vide comme celui-ci s’aménageait aisément, cependant il se localisait aussi bien qu’un avion Russe en plein Manhattan. Restait la flore qui demeurait sauvage, où l’on pouvait rencontrer n’importe qui, n’importe quelle espèce ou danger. Mais c’était au plus proche du danger que celui-ci se doutait le moins de notre venue. De plus, le seul et unique endroit où se dissimulait la faune tenait en un mot : la flore. Elle s’y abritait, s’y cachait, mais ne passait sans doute pas la majeur partie de son temps dans une clairière. Nous, soldats, étions l’opposition, et tout le monde se refusait à l’idée d’affirmer que FoxHound était un lieu reconnu : une des plus grosses clairières mondiale. Le danger nous observait à chaque instant, ils espionnait notre illustre stupidité sédentaire, les arbres nous épiaient depuis un nombre aberrant d’années. Les arbres nous aveuglaient et nous imposaient une soumission, comme un agenouillement pour ne pas voir au-delà de leurs feuilles. Mais cette fois, nous allions jouer les inconnus à travers une jungle, nous allions nous confondre avec les conspirations qui autrefois nous renfermaient prisonniers.
- Pourquoi nous sommes nous arrêtés dans une clairière ? lui questionnai-je à mon tour.
Il me regarda bizarrement, recherchant assurance et non pas un propos troublant.
- On ferait mieux de mettre les voiles. Je n’aime pas cet endroit, continuai-je.
En effet, si les hélicoptères de diverses organisations télévisées ou militaires survolaient la zone, on risquait d’anéantir notre couverture.
- Par où aller, la dangerosité d’endroits comme New York, Chicago ou de grandes villes va interférer sur nos projets, poursuivit-il
- Oui, ces clairières ne m’ont pas effleuré l’esprit une seule seconde. Meryl dit avoir une base personnelle en Floride, on va se rendre là-bas. Nous serons à l’abri. Je ne suis pas au courant des détails concernant la future résidence, mais je lui fais confiance.
- Ok, cette femme a l’air sûre d’elle de toute façon.
- A propos d’Hornet, fis-je sans engager notre discussion sur Meryl. Wiles m’a dit que le seul coupable, c’était lui.
- Tu veux parler de la taupe ?
- Effectivement. Le traître qui a lancé l’info sur ma rébellion.
- Impossible, j’en sais des choses. Sur ce point là, tu ferais mieux d’oublier, ça ne peut être lui. S’il aurait fait ça, il ne serait pas là en ce moment même.
- C’est la seule raison ?
- Non, il y en a d’autres mais c’est trop compliqué. Je ne cherche pas le mensonge, crois-moi.
- Ok. Je joue le naïf, mais si un jour mes soupçons se confirment, je n’hésiterai pas une seule seconde à te faire la peau.
La remarque fut brutale mais je le voyais comme une personne sincère, qui connaissait trop bien le mensonge dont il était souvent l’objet pour pouvoir oser jeter la pierre sur un proche camarade.
- Ça n’arrivera pas, me rassura-t-il droit dans les yeux. Mais il y a une autre chose…
Je vis Meryl qui nous épiait sans gêne au volant de la Jeep, Cobra se contentait de méditer et lorsque je le remarquai, il esquissa un sourire narquois et amical.
- Hornet est de la CIA, révéla Locke.
Les traits de Cobra se mincirent, et Meryl rehaussait lentement son dos.
- Les gros bonnets de la CIA ? interrogeai-je, dubitatif.
- Il connaît le directeur.
- Qui a logiquement perdu son poste. Les risques encourus avec un tel membre sont trop illégitimes. Il pourrait nous faire office de contact et inversement, ce qui est un problème s’il trahi notre confiance.
- Il a juré fidélité à l’organisation, retourner à la CIA pour lui serait suicidaire. En décamper l’oblige à lutter contre sa traque, mais maintenant que la CIA a perdu son bon sens, travailler là-bas pour lui est inconcevable.
- Le bon sens…Cette organisation n’en a jamais eu. Ce départ lui coûtera la vie s’ils le retrouvent. Bien qu’il soit une source d’information bonne à congratuler, il faut rester méfiant. Wiles n’a pas touché le bon morceau en l’accusant de la sorte. D’ailleurs, je ne sais pas où il est passé…
- Wiles est un traître, intervint Cobra.
Ryan se retourna pour lui verser un regard agacé, comme s’il ne comprenait pas grand chose, les sourcils ayant complètement fondus.
- Je le savais peu de temps, mais j’ai gardé le secret pour y voir plus clair et ne pas vous troubler durant toute cette opération. Je n’ai pas lu ses pensées, ni pénétré son esprit, mais il y a quelque chose de mauvais en lui, c’était prévisible et tu viens d’avoir la confirmation avec ces fausses accusations. Son jeu est bien trop mauvais, mais je ne sais pas de quel camp il provient. Juste que je ne le sens pas et qu’une chose inexplicable m’en a averti.
- Hmpf, moi qui lui avait accordé une confiance aveugle, avouai-je Nous le retrouverons plus tard. Meryl, tu as de quoi nous décamper d’ici en vitesse ?
- J’ai appelé un pilote, il a localisé notre position, il est en route.
Je la remerciai de la tête et m’éclipsai pour un moment de solitude. Locke vint me poser une ultime question néanmoins.
- Eh, comment doit-on t’appeler maintenant ?
- Aucune importance, fis-je dos face à lui.
- Tu dois bien avoir une appellation, non ? On a tous une identité. Nous ne sommes pas des jouets, ou sujets à des expériences inhumaines qui nous conduisent obligatoirement à une mort prématurée.
- Je ne suis pas ordinaire, répondis-je, quel serait l’intérêt d’un nom sans origine, sans parents. Je suis un clone, Ryan. Une manipulation génétique qui défie la Nature, je n’ai pas de souvenirs, je n’ai pas de famille, un nom qui ne rappelle rien, qui n’a pas de vécu est simplement inutile. Si tu prononces mon identité, est-ce qu’elle aura une certaine répercussion sur moi-même, est-ce que ma fierté se manifestera... Je n’ai pas de prénom, je ne suis pas destiné à en avoir, et m’en donner un ne servirait à rien puisqu’il n’aurait pas de passé. C’est à toi de décider, appelle moi comme tu le souhaites, je m’en ficherai complètement.
- Un nom de code ?
- J’en ai depuis ma naissance, eux seuls peuvent me définir. Sur quelqu´un comme moi, un nom ne signifie rien.
Je lui avais légèrement tourné la tête quand mes cheveux entamèrent une course contre le vent ; l’hélicoptère arrivait. Il se déposa près de nous et amorça son atterrissage en douceur. Nous embarquâmes un à un, et je lançai une dernière pensée pour les hommes tués au combat cette nuit là.
- Allez, en route, Snake, me fis Locke, enthousiaste.
Je levai le pied et montai. Qui d’entre eux pouvaient maintenant nous définir, nous voir comme de simples souffres douleur. Qui allait oser s’attaquer ou comploter contre nous. Pas grand monde sans doute, car aujourd’hui les seuls et uniques juges, c’était nous.

Euh sinon j´aurais pu faire plus mais ça aurait été trop, j´ai mis là le stricte nécessaire.

Oui sympa. On voit que t´avais rien foutu depuis deux mois et que t´as vite fait ça en quelques jours, mais les idées principales sont là. Dommage que certains sujets importants ne soient pas évoqués, mais ça suffit.

La tout est très poétique, même si certains passages sont assez lourds ("demanda mon compagnon, qui allait couper court avec la stabilité casanière relative à notre défunte organisation.").

Question scénario, pour Hornet, c´est bon. Pour Wiles par contre, on voit ça sur msn ça va faire des vagues sinon!

Quel jeu mon pti Thunder

Ouais du bon Naked. J´adore la narration qui va vite et bien comme dh´ab. Les dialogues sont ptet un poil trop informatiques mais ça passe.

Par contre j´espère que tu va pas continuer à te faire appeller Snake, et je dit ceci pour une raison plutôt évidente (plusieurs même).^^

Bon en tout cas la c´est formel: Plus qu´un texte et... On aura fini Foxdown !! !

Je sais c´est con à dire mais faut le dire !^ ^

Et je voudrais m´excuser auprès de Nab, en effet ma remarque était pas sympa.

Texte très agréable. La narration et la description sont un régal.
Par contre, les dialogues sont un peu... bizarres ^^ je saurais pas l´expliquer.