Bonne soirée et nuit Jack
lol j´avais pas lu ce passage^^
Sofea Posté le 21 janvier 2007 à 00:52:07 Ully > simple : il est tombé amoureux de moi et moi de lui (rien de plus qu´une passion éphémère pour ma part). Mais bon ne l´ayant jamais rencontré irl et connaissant son mental j´ai beaucoup trop d´orgueil pour accepter de sortir avec un gars tel que lui.
Au final j´ai compressé puis supprimé toute forme de sentiments, et présent ne vois en lui rien de plus qu´un vulgaire passe-temps.
Une histoire sans avenir ne m´intéresse pas, car dénuée de toute forme d´intérêt.
mmm bizarre, ou bien tu as omis certaines choses, ou bien tu n´étais pas au courant de certaines choses^^
ds les deux cas ton analyse est incomplète (enfin, pas trop vu que c´est ton point de vue)
mais qu´importe à présent, faites fi de ce message ..^^
hier soir, pour la première fois depuis près d´un an ... enfin j´ai pu reparlé à celui qui embrase mon âme...qui plus est, en utilisant certaines personnes sans qu´elles s´en rendent compte..merci elles, malgré elles..
je plussoie ..^^
Ah la philosophie dans le boudoir !
Je connais des gens à qui l´on va retirer des points.
A vrai dire, je m´amuse comme une folle.
Chaque fois Ans me sort une nouvelle histoire, chaque fois tout se met en place pour lui donner un brin de vraisemblance. Et deux mois plus tard il n´en reste quasiment rien, mis à part un vague souvenir, et en prime une histoire encore moins vraisemblable...
Que croire, que croire...
Et oui. Il ne faut croire en rien. Enfin, le plus important c´est que j´ai pris la tête du classement. Si tu t´amuses autant que nous, c´est le plus important.
Si j´avais su que tu deviendrais aussi barge en déclenchant phi, je l´aurais fait bien plus tôt.
Ça aurait évité des effusions de sang inutiles...
Ah ca, ce n´est pas mon problème. Je pourrais m´excuser d´avoir provoquer tout ça juste pour gagner des points dans le cadre d´un jeu, mais je n´éprouve aucun remord à vrai dire.
Au fait j´ai pas des éléments suceptibles de te faire perdre des points ?
Ne jamais faire confiance à un étranger, ça te dit quelque chose ?
Tu en as. Et tu n´es pas la seule à en avoir. Mais perdre 5 points pour en gagner 20, ca vaut le coup. Et ce n´est aucunement une question de confiance, mais un bête calcul perte / profit.
archives récupérées, contre-attaque prête...n´oubliez pas le "deal". . ..
Np. << >>.
Tiens, on va relancer un peu les sujets de discussions philosophiques, on commence à s´ennuyer par ici :
Cela fait un moment que j´ai envie d´aborder cette question me tenant à coeur. Loin de moi l´idée de villipender les jeux "violents" ou "gores" ni de déplorer que les flingues et le sang fassent vendre, non. Il s´agit ici de développer une idée quelque peu saugrenue, j´en conviens, qui placerait la notion de conflit au centre de l´acte de jouer, le jeu vidéo étant à ce sujet un très bon "cobaye".
La notion de conflit (et non pas la thématique !) me semble en effet centrale. Elle est pour moi un fil rouge, à la base de tout ce que l´on trouve dans le jeu vidéo, qu´il s´agisse de FPS ou de simulation, en passant par le sport, l´aventure ou bien entendu, le RPG...
Le conflit, donc, est défini comme étant un antagonisme, un sentiment d´opposition entre personnes ou groupes de personnes, voire entre les motivations personnelles d´un seul individu, hésitant entre interdits moraux et besoins/envies pulsionnels. Ce sont ces dernières qui m´intéressent.
Pourtant, le conflit n´aurait-il pas un sens plus global ? Est-il porté uniquement par un vecteur violent, ou bien peut-il s´exprimer au travers d´un simple "rapport à" ?
Jouer est défini comme le fait de se divertir, de "tirer parti", mais aussi de miser quelque chose, de duper quelqu´un, de se farder.
L´objet du jeu est (à priori) le jouet, "conçu pour amuser, être un élément dominé, manipulé, contrôlé". On peut bien évidemment, jouer de la musique, jouer aux cartes... ce qui chamboule les termes utilisés mais le principe reste le même. Celui qui joue serait désireux de transformer une volonté en sentiment (le plaisir...), en ressenti (le son, l´image, l´odeur...) ou en objet concret.
Le conflit, pour sa part, résulte-t-il d´un "rapport à l´objet joué", mal maîtrisé, censé être un outil docile, mais qui, pour une raison ou une autre, ne répond pas aux sollicitations ? Comme un jouet cassé ou un instrument défectueux ? Ce serait trop simple. Le conflit peu survenir envers un objet aussi rodé et parfait qu´une horloge ou un piano à queue auquel on reprocherait sa trop grande exactitude, sous prétexte que sa rectitude n´est pas en rapport avec nos aspirations (qui n´a jamais rêvé que le temps s´écoule plus vite ou plus lentement ? qui n´a jamais pesté contre l´accord d´un instrument de musique non en phase avec son oreille, ne permettant pas d´en tirer le son voulu ?) . En quelque sorte le conflit peut aussi survenir envers un jouet trop symbiotique, trop transcendant.
Le conflit est donc un ressenti personnel exprimant une frustration à deux étages: trop bien, ou trop mauvais.
Toutefois, si jouer s´avère frustrant, il ne s´agit plus d´un jeu, qui doit par nature être divertissant.
Que pourrait donc frustrer le joueur ?
Ne serait-ce pas une possibilité de contrôle trop grande ? Une omnipotence quasi totale sur l´objet , qui, à la longue, lasse ? Mais après tout, les grands artistes ne regardent-ils pas leur art de haut, se faisant critiques ? Les musiciens chevronnés ne méprisent-ils pas la technique de jeu, se concentrant sur ce que la musique a à dire plutôt que sur les moyens d´y parvenir ? La sentation de liberté n´est elle pas grignotée au fur et à mesure par un sentiment d´enferment, lorsque l´on joue à un soft résolument "non linéaire" ?
Cela dit, il est courant de dire qu´un soft trop linéaire est tout aussi lassant ! Voire plus ! L´impossibilité de choisir anihile tout aussi bien la motivation à jouer qu´une maîtrise totale et parfaite !
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En quelque sorte, le joueur ne serait-il pas en conflit avec lui même au travers du jeu vidéo ?
Que l´on considère la chose positivement ou négativement, là n´est pas la question, mais le jeu vidéo en particulier, et ce qui peut être l´objet d´un jeu en général serait-il un processus mêlant affirmation de soi, servilité à des directives données, plénitude et frustration ? Un conflit total et permanent entre deux entités exercant, chacune à leur manière, un contrôle de l´acte ? le tout déboucant, à fortiori, su une simili-cohérence, et le sentiment que l´on a "passé un bon moment"?
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Cette question a sans doute été abordée maintes fois, mais j´ai parfois l´impression qu´elle subit une perpétuelle remise en question, notamment au travers du grand combat entre pros et anti "linéarité".
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Quelques questions, pour finir:
Pour trouver la "plénitude" (hem ) en jouant, le ressenti du conflit doit-il être un aspect primordial ? Et surtout, peut-on considérer (le ressenti devant se traduire en vécu) que le thème, cette fois du conflit, si souvent abordé dans les jeux (guerres, sport...) soit une fatalité ?
Voilà, j´ai conscience que de nombreux raccourcis dans le développement gâchent cette analyse, un peu longue aussi, mais bon, l´idée est là. Donc, si vous avez envie de me foutre des baffes (virtuelles s´entend) hésitez avant de taper, merci.
Ans, DreamCatcher.
"l´humain est mauvais (par essence)"
je dit non et affirme que le bien comme le mal sont sur un meme pied d´egalité, c´est seulement l´individu lui meme qui se laisse a la facilité autrement dit le mal.
c´est ainsi qu´on concoit en premiere et fausse apparence que l´etre humain est mauvais.
ce chemin est du a sa faiblesse. il n´empechera que des individus ne se laisseront aller, (du a leur force ? )
la question que je me pose est la suivante :
affirmer que l´essence de l´etre humain depende de sa condition de force, ca reviens a dire que sont essence est à determiner
une essence que l´on peut choisir, c´est pas une essence.
alors on en reviendrai a : "ca depend de chacun ?"
si c´est individuel, alors la (premiere) phrase, est fausse.
mais si nous n´avons pas d´essence, ce qui me paraiat impossible, on est quoi alors ^^ ?
Il existe des gens foncièrement et irrémédiablement honnêtes et bons ... et ce sont des humains
Chacun est libre de ses choix (dans la mesure de son intellect, son éducation et sa culture)
CQFD
on va aller discuter ailleurs si tu veux bien sinon on va se faire bruler vif
le hs est mal toléré par les intello
tu appelles ca une demonstration ?
et que veins foutre al culture et l´education quand je parle d´essence ? c´est totalement oposé.
la pome poire girl, je te prierai d´exposé tes idées plutot que de faire ce qui ne te va pas ^^
je crois qu´on est pas sur la meme longueur d´onde concernant le sujet.
oublions donc.