la plus belle recompense que je puisse te faire ici, c'est te remercier d'avoir fait une jolie FIC sur une petite communauté de personnes mal connues et mal traitées ...
sinon, tu peux nous preparer un epilogue ?
okay un épilogeu c'est quand on épile non?
alors voici la scène censurée de l'épilation de la jeune fille:
Alors que j'étais toujours sur la table de chevet et elle complètement nue, elle sortit d'un tiroir de la commode dans laquelle elle venait de sortir sa petite robe de nuit: des bandes de cire:
elle s'en mis d'abord une sur chaque bras puis les arrachas, et recommença jusqu'à ce qu'il n'y ai plus un seul poil, elle fis de même avec ses jambes et avec son ventre (mème si celui ci ne semblait pas en avoir besoin) et arriva enfin a son fessier. Même si elle ne possédait que des petits poils quasiment invisibles, elle en possédait beaucoup a cet endroit la, et elle poussait de petit cri a chaque fois qu'elle tirée une bande de cire.
Une fois qu'elle en eu finis avec ses fesses, je cru qu'ele avait terminé et qu'elle allait enfin pouvoir s'occuper de moi, mais non, elle ne c'était pas encore occupée de ses parties génitales Elle commença d'abord avec son pubis, et elle cria de la m^me manière qu'elle l'avait fait avec ses fesses. Enfin elle plaça une bande de chaque coté de son orifice vaginal, et tira violemment les deux bandes a mème temps, ce qui tira du fond de sa gorge un long gémissement qui réussit m'exciter, même moi qui n'était qu'un suppositoire...
et l'histoire en entier:
Je me présente, je m'appelle Rodolphe, Rodolphe le Suppositoire, contrairement a ce que l'on pourrait croire la vie d'un suppositoire n'est pas de tout repos, je n'ai que 4jours, et me voila déjà pris au piège avec quelques uns de mes semblables. Nous sommes chacun dans une sorte de coque individuelle et transparente dans laquelle on ne peu même pas bouger. Autour de nous, un autre emballage plus grand, en carton sans doute, dans lequel nous sommes une vingtaine. Mais nous pouvons entendre d'autres suppositoires crier, pleurer ou simplement discuter a l'extérieur de celle-ci, sans doute dans la même situation que la notre...
Vous savez, dans la vie un suppositoire n’a qu’un seul objectif, c’est de finis dans le plus joli petit cul possible :bave : , le seul problème c’est que ce n’est pas nous qui choisissons… il est également vrai que… Attendez, on dirait qu’il se passe quelque chose, j’entends les suppositoires d’autres compartiment se mettre a cirer, la panique est entrain de gagner également mes compagnons de voyage, que ce passe t’il ?
Au secours, nous sommes secoués dans tous les sens, et coincé dans ma bulle de plastique je ne peux rien faire ! Tout le monde crie, les plus sensibles et les plus jeunes pleurent, que va-t-il nous arriver… Ah, on vient de recevoir un dernier choc puis… plus rien…
Puis rien ne se produisit pendant plusieurs minutes ou heures, nous n’avions aucune notion du temps dans ce noir complet, nous n’entendions seulement de temps en temps que des humains parler ou marcher, ces êtres qui grâce a leur anus nous permettez de finis paisiblement notre vie et de finir a SupoParadise, le paradis des suppositoires… Je commence a être fatigué, et après cette longue journée remplie de tentions, et me dit qu’un peu de repos ne serait pas volé…
Le lendemain je fus réveillé brutalement par des cris venant d’autres paquets, puis comme rien ne se produisit pendant un long moment ensuite, l’ambiance se détendit et je pu discuter avec mes compagnons et faire leur connaissance. Et je fis notamment la connaissance de Gérard (dit : Gérard le déboucheur). Nous rigolâmes beaucoup jusqu’au moment ou nous entendîmes des pas d’humains, un grand silence tomba parmi tous les suppositoires, nous ne fûmes pas encore ce coups-ci choisi. Ce manège se reproduisit pendant plusieurs jours, et nous commencions à le banaliser. Puis un jours Gérard s’écria : « Silence écoutez » nous n’entendions rien et un grand « PROUT !!! » ré »sonna, a quel rigolo ce Gérard ,
Il se permettez de rire de tout…
Et enfin un jour, ce fut au tour de notre paquet d’etre choisit, je ne vous cache pas que l’ambience se refroidit quelque-peut, mais nous étions loin de subir la même terreur que les premiers à avoir était emporté. Nous écoutâmes pour essayer de savoir de quel sexe était l’humain qui nous emporté, et surtout si c’était a lui/elle que nous étions destiné. Il s’agissait d’une femme, ce qui n’était pas pour me déplaire mais elle ne divulgua aucune indication concernant le malade que nous devrions soulagé…
En arrivant a son domicile nous fûmes installés dans un placard, ou nous ne pouvions rien entendre sur ce qui se passé a l’intérieur. Nous nous imaginions a quoi pouvait ressembler cette demoiselle qui serait sans doute notre chemin vers SupoParadise… Nous fûmes interrompue en pleine discussion, quand une des extrémités de la boite dans laquelle nous étions coincé depuis plusieurs jours vois semaines. Deux immenses doigt saisire le premier suppositoire, il s’agissait de Michel (dit le Godmichel a cause de sa taille imposante), qui était aussi devenue un très bon ami à Gérard car ces deux la ne faisaient que déconner. « On se retrouve a SupoParadise les gars !» s’écria t’il et Gérard répondu «Soulage la cette cochonne ! ». En effet nous pouvions voir le visage de notre receveuse, il s’agissait d’une magnifique brune aux yeux bleu qui devait avoir dans les 20-25ans. « Si vous voyez le cul qu’elle a mes amis, vous seriez jaloux de moi. » remarqua Michel. Et…
Michel continuait a chambrer : « si je pouvais être réutilisé, je recommencerais avec celle la ! Je ne vous dit pas… » mais il fut interrompue par la jeune femme qui murmura : « Tiens papa ça va te faire du bien » et Michel s’arrêta net de parler et disparu de notre champs de vision en même temps que notre rêve qui s’envolait… Puis tout a coups on réentendit Michel qui maintenant hurlait : « NOOOOOOOOOON ! Pitié ! » Nous nous observions pendant ce temps la, tremblant de peur a l’écoute des cris de Michel qui venait sans doute d’apercevoir les fesses les plus moche qu’il ne verrait jamais, puis tout a coups ses cris cessèrent, il était parti… Nous nous rassurâmes en disant qu’il était maintenant dans un monde meilleur, mais l’idée que nous devrions subir le passage dans ce fessier dont même la vue devait etre insuportable nous retournait les tripes…
Et le lendemain se fut au tour de Paul, puis de Hernest et Grégoire, et une ou deux fois par jours nous devions supporter les même cris d’horreurs, j’était au fond du paquet avec Gérard, mais cela serait bientôt notre tour… Il fallait trouver une solution, mais que pouvions nous faire coincé dans cette bulle elle même prise au piège dans cette boîte dans un placard fermé… Il fallait se préparer a affronter notre destin… puis vint le jour ou Gérard décida de tenter une évasion, il me proposa d’essayer de le suivre, mais je redouté encore plus cette idée que celle d’être absorbé par le trou du cul le plus immonde qu’il soit. Alors que la jeune femme qui été là pour guérir son père se saisissait de Jean-Marie, Gérard réussit a se faire rouler, lui et son étui et a tomber du placard sans que la bourreau ne s’en rendit compte… J’avait peut-être raté ma dernière chance.
Il ne restait plus que moi et un jeune suppositoire qui s’appelait Cisla (nom surprenant d’ailleurs pour un suppositoire) et qui ne faisait que pleurer a longueur de journée ; ce qui ne m’aidait pas a me préparer a mon destin… Comme tous les jours la boîte s’ouvrit et je sentit que les deux doigts de la jeune femme compressaient légèrement ma bulle, elle me sortit de celle-ci et j’était maintenant dehors, je pouvais voir le vieil homme, il avait les fesses a l’air, c’était un véritable vision d’horreur… Son cul avait autant de ride que la tète a Gneviève de Fontenay sans maquillage, je forçai alors de toute mes forces pour échapper a l’étreinte de la complice du massacre et y parvint, je fis alors une longue chute puis une fois au sol je roulai sous le meuble le plus proche. Elle s’accroupie, regarda sous la commode sous laquelle je me caché mais de me vit pas. J’entendit alors les cris du jeune Cisla qui furent étouffés comme ceux de tous les précédents par les plissures de l’immonde crevasse…
Sous la commode je découvris le cadavre de Gérard qui n’avait pas réussit a sortir de sa bulle. Cela me cassa le moral d’autant plus que je regrettait de ne pas m’etre laissait enfoncé dans le cul de ce vieux moche, car les suppositoire ne vivent que 3mois tout au plus, et si je voulait aller a SupoParadize, il fallait que je soit enfonçait dans une tirelire a merde (comme on les appelles chez nous). Je décidait donc de partir a la recherche d’un autre fion, je réussit a me faire ramasser au milieu des saletés et a me faire jeter a la poubelle, puis a m’extirper de la beine du camion qui me conduisait a la décharge pour finalement rouler jusqu'à l’entrée d’une maison…
J’attendis que le propriétaire rentre pour pouvoir m’introduire dans l’habitat. Enfin une voiture s’arrêtât juste devant l’entrée, et il en descendit un couple de … de … de rouquins ! J’était aurifié, c’était encore pire que tout ce que j’avais pu imaginer. Et alors que je m’apprêtais à fuir, une jeune adolescente d’une quinzaine d’année descendu a son tour, elle n’avait rien a voir avec ses parents, elle était assez bronzée, avec de long cheveux bruns et un corps sublime :bave :. Je compris que ce n’était pas leur fille biologique, mais une jeune sud-américaine qu’ils avaient du adopter. Alors que la mère venait ouvrir la porte, elle déposa un plastique sur le sol. Coups de chance, il s’agissait d’un sac de pharmacie, je réussit a me glisser dans celui-ci. Et je fus déposé dans le placard a pharmacie, comme les autres médicaments…
J’attendit plusieurs jours dans ce placard, j’étais très stressé, je pouvais finir dans un magnifique petit cul de jeune fille quasiment imberbe, aussi bien qu’entre deux fesses puantes de roux… Puis, un jours, alors que je commençait a me faire vieux, la porte s’ouvrit, et je vit le visage de la jeune fille. Elle dirigea sa main vers un paquet qui se situait juste à coté de moi. C’était un paquet de suppositoire ! J’étais fichu si elle entamé le paquet, je ne vivrait pas assez longtemps pour attendre qu’elle finisse tous les autres suppositoires. C’est alors que sa mère s’écria : « Que fais tu chéri ? » et la suivante répondit : « rien j’ai mal au ventre », je profitait de ce moment d’inattention pour rouler juste devant le paquet qui contenait mes concurrents, en se retournant elle me vis, et me saisi…
Elle marcha le long d’un couloir, j’étais tout excité. Puis elle ouvrit une porte et l’on pénétra tout les deux dans sa chambre. Elle me posa sur sa table de chevet, c’était le soir. Elle ferma les volets puis la fenêtre et commença a se déshabiller. Je pu l’admirer nue, ses seins de taille moyenne mais fermes, ses magnifiques jambes, mais surtout son incroyable petit cul dans lequel j’allait finir Elle mis sa robe de nuit et s’allongea sur le lit. C’est alors qu’elle me reprit dans sa main gauche, elle replia ses jambes légèrement et les écarta tout en relevant sa petite robe. J’avais une magnifique vue sur son petit sexe dépourvu de poil, si j’avais été un humain mâle j’aurais sans doute bandé tray fort. Mais j’étais un suppositoire et tout ce qui m’intéressait c’était son petit trou de balle. Elle leva alors les fesses, les écartas avec son autre main, et je vis l’entrée du paradis, de Supoparadize. Elle commença a m’y enfonçait. J’allait finir en beauté…
FIN
épilogue : conclusion d'une oeuvre littéraire. Dénouement.
stoi le dénouement
Denouement : Action de dénouer.
Le point où aboutit et se résout l'intrigue d'un roman, d'une pièce de théâtre, d'une affaire, etc.
Denouement n'est donc pas une insulte
Jay Honte Jay Bonday A la fin
tjrs pas la suite au supoparadise ?
Sweet?
Omg, j'étais vraiment tordu quand j'étais prépubère
Bien ton up 6 ans plus tard ?
Je revenais faire un bilan de ma vie passée