Faudrait penser a virer ce conn... de zorox du forum les gars !

tous ta fait d´accord avec toi !!!!!!! Tiferra

quel vie !!!!!!!!!! lol

Terra et Djidan quand il vont venir il vont dire

ooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoooooooouuuuuu
uuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu 1198 message
bien jouééééééééééééé lol

Terrra djidan25 clad88

venezzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz!!!!!!

ca vas Tiferra ????????

Désolé, les sciences nat. c´est pas mon truc, je préfère largement la physique!

Mais d´après ce que je me rapelle de l´année dernière, les cytochromes C sont présents au niveau de la membrane des mitochondries des cellules Eucaryotes ou au niveau de la membrane cellulaire des Procaryotes. Ce sont des transporteurs d´électrons et à ce titre ils participent aux transferts énergétiques vers l´ATP.

!!! la relativié !!!!

Qu´est ce qui a bien pu conduire Albert Einstein a conclure que tu vis dans un espace quadridimensionnel (trois coordonnées d´espace et une de temps), avec des règles qui raccourcissent et des horloges qui ralentissent en fonction de ton état de mouvement? Tout le problème tourne autour de la relativité de la notion de mouvement, d´où le nom de théorie de la relativité (sous entendu du mouvement). Ce qui se cache derrière ce nom devient plus simple si tu regardes le mouvement du soleil depuis son lever jusqu´à son coucher. Toi complètement immobile, tu verras le soleil décrire un grand arc de cercle au dessus de ta tête. Mais au fait, es tu réellement immobile? Non, bien sûr, car nous savons depuis Galilée que ceci n´est qu´une illusion et que nous vivons en réalité, nous terriens, sur un bolide en rotation constante autour du soleil. De ce nouveau point de vue, le soleil est immobile et c´est nous qui bougeons. Mais ceci aussi est une illusion, car par rapport a notre galaxie, le soleil est entraîné dans un gigantesque tourbillon.

Quand à notre galaxie on sait aujourd´hui qu´elle s´éloigne des autres galaxies à une vitesse tout à fait vertigineuse:

Le même résultat est obtenu si l´on groupe les galaxies proches les unes des autres. Les amas ainsi formés sont eux aussi en mouvement les uns par rapport aux autres:

La conclusion de tout ceci est que parler d´un mouvement absolu est un pur non-sens. Tout ce que tu peux faire c´est parler du mouvement d´un objet par rapport à un autre pris comme point de repère. Voilà le point de départ de la théorie de la relativité.

Et après? Tout ceci est bien évidemment très ennuyeux. Si d´aventure, tu as l´impression de te déplacer à vitesse constante, hop, un simple changement de repère et te voilà tout à fait immobile. N´existe-t-il vraiment aucun moyen de conserver toujours la même vitesse, quel que soit le point de repère que l´on choisit pour la mesurer? Reformules la question autrement. Existe-t-il dans la nature quelque chose qui se déplace et ne pourra jamais être arrêté? Mais bon sang c´est bien sûr! Il suffit de se transformer en rayon de lumière. C´est la grande découverte d´Albert Einstein que de supposer que seule la lumière ne s´arrête jamais et se déplace donc toujours avec la même vitesse (désignée conventionnellement par la lettre c). Cette vitesse absolue et immuable est voisine comme tu le sais peut-être de 300.000 km.s-1. Si on admet cette hypothèse, alors il devient possible de transformer le temps t en une distance parcourue x = c×t. Temps et espace peuvent donc être désormais intimement mélangés par cette simple multiplication par une constante garantie immuable.

Le reste de la théorie est une simple salade mathématique assez indigeste pour le commun des mortels destinée à rendre compte de manière élégante des résultats expérimentaux (expérience de Michelson-Morley, loi d´addition des vitesses, masse relativiste, etc...). Les conséquences importantes à retenir, c´est que les notions de longueur, de temps et de masse, deviennent dorénavant dépendantes de la vitesse v à laquelle tu te déplaces. Plus exactement si l, t et m désignent respectivement, la taille, la durée et la masse mesurée pour un objet dans son propre repère (où il se voit immobile), ces quantités deviennent L, T et M dans un autre repère où ce même objet se déplace à la vitesse v:

C´est ce facteur b, nécessaire pour assurer la constance de la vitesse de la lumière dans tous les repères, qui est responsable du raccourcissement des règles, du ralentissement des horloges et du gain de masse avec la vitesse. Un monde où les règles ont toujours la même longueur quelle que soit la vitesse de déplacement serait tel que b = 1, ce qui impliquerait que la vitesse de propagation de la lumière soit infinie. Malheureusement pour toi un tel monde n´existe pas, et malgré le vertige procuré par une vitesse de 300.000 km parcourus en une seconde, ce nombre reste désespérement fini et infranchissable pour toute particule matérielle.

Une autre conséquence importante de la théorie de la relativité est que les concepts de masse et d´énergie deviennent complètement équivalents selon la relation célèbre: E = m×c2. Connaissant l´énergie E la vitesse s´obtient facilement en divisant cette énergie par la masse et par la vitesse de la lumière: v = E/(m×c), valeur qui ne peut en aucun cas devenir supérieure à c. Cette équivalence masse énergie trouve son point culminant dans l´existence de l´anti-matière, en tout point semblable à la matière normale (au signe de la charge près), mais qui s´annihilent l´une l´autre dès qu´elles se rencontrent...

Bien sûr, quand la théorie fut formulée en 1905, tout cela parassait absolument incroyable et loufoque. De nos jours, la situation a bien changée car toutes les expériences réalisées en ce domaine depuis cette date ont donné des résultats conformes à la théorie. Comment en effet nier l´équivalence masse-énergie après les tristes expériences d´Hiroshima et de Nagasaki qui ont fait plusieurs millions de morts en une fraction de seconde?La nature est bel et bien relativiste, et l´existence de la bombe atomique est là pour nous en convaincre.

L´existence de l´anti-matière découle logiquement de la validité de la théorie de la relativité. Pour comprendre cela, poses toi la question de la relation qui existe entre l´énergie cinétique K et l´impulsion p = m×v. Avant la relativité, tu pouvais écrire K = p2/2m = ½m×v2, comme tu le sais sûrement. Après la relativité cette écriture n´est plus valable et il faut trouver quelle est la nouvelle relation.

Le point de départ est la célèbre équivalence masse-énergie formulée par Albert Einstein: E = m×c2. L´impulsion étant un vecteur et l´énergie un scalaire, tu ne peux comparer les deux qu´en utilisant le carré du module:

Exprimes maintenant la vitesse en fonction l´impulsion et de la masse au repos m0 (m2 = b2×m0 où b le facteur de Lorentz):

La matière correspond à la valeur positive de l´énergie et l´anti-matière à la valeur négative. Les deux solutions sont acceptables comme on a pu le vérifier expérimentalement en fabriquant dans des accélérateurs de particules des faisceaux de positrons (anti-électron de même masse au repos que l´électron mais possédant un charge électrique q = +e).

Si tu trouves un peu bizarre d´avoir une énergie négative, songes que le temps ne s´écoule que dans une direction, mais qu´il est complètement arbitraire de choisir une direction particulière. Si tu choisis de dire que le temps s´écoule du passé vers le futur pour la matière, alors il s´écoulera en sens inverse (du futur vers le passé) pour l´anti-matière. Le génial physicien Paul Adrien Maurice Dirac est même allé encore plus loin en disant que le vide contenait autant de matière que d´anti-matière. Si l´on dispose d´une énergie suffisante, il devient possible d´arracher au vide une particule de matière en laissant derrière une particule d´anti-matière. Toutes ces choses fantastiques sont autorisées par la physique et découlent simplement de l´équivalence masse-énergie.

Un dernier point. Si tu connais les développement limités, tu sais sûrement que lorsque e est petit devant l´unité (1 + e)a ~ 1 + a×e. Supposes donc que le produit p2c2 soit petit devant le produit m02c4. Que devient l´expression de l´énergie cinétique pour une particule de matière (E > 0)? Ici a = ½ et e = p2c2/m02c4, soit:

Le premier terme est une constante qui disparaîtra automatiquement lors de tout bilan d´énergie, et il ne restera donc que le second terme qui est la définition bien connue de l´énergie cinétique non relativiste! Une telle cohérence interne au niveau théorique est absolument nécessaire pour qu´une nouvelle théorie (ici la relativité) remplace une plus ancienne (ici la mécanique Newtonienne).

vous avez mieux compris le sujet de la relativié ?????????????????

hummmmm

RAPPEL DE QUELQUES ÉVIDENCES

Notre cerveau est un ordinateur. Certes un ordinateur autoréfléchissant et doué d´une subjectivité propre, ce qui le distingue radicalement de l´ordinateur de bureau, incapable de penser par lui-même. Il reste que, lorsque nous pensons et réfléchissons, notre cerveau ne fait rien que des opérations mathématiques. Même s´il fait de la poésie, ce qui justifie le désir qu´avait le poète Paul Valéry d´unifier la Mathématique et la Poésie.

Or l´ordinateur de bureau lui-même ne fait rien d´autre que des opérations mathématiques. Il est donc clair qu´en dépit de toutes les protestations des subjectivistes -- qui privilégient la subjectivité aux dépens de l´objectivité --, notre cerveau possède bien la caractéristique essentielle de l´ordinateur de bureau : à savoir la capacité de faire des opérations mathématiques, c´est-à-dire de réfléchir de manière objective.

En revanche, l´ordinateur de bureau ne possède pas la deuxième caractéristique essentielle de notre cerveau : la subjectivité, à savoir la capacité de se penser lui-même ou de se concevoir lui-même en tant qu´être doué d´une subjectivité, c´est-à-dire en tant que sujet. La différence radicale entre l´être vivant et l´ordinateur de bureau, c´est que le premier est un sujet -- doué d´autant d´objectivité que de subjectivité. Le second est un objet -- doué d´objectivité mais dépourvu de subjectivité.

Notre cerveau comporte bien deux hémisphères à la fois antagonistes et complémentaires mais qui sont ouverts l´un à l´autre et non pas hermétiquement clos.

L´hémisphère droit à dominante subjective, qui nous permet de nous concevoir en tant que sujet et de penser de manière subjective ou intuitive ; c´est l´hémisphère de la subjectivité ou l´hémisphère-sujet.

L´hémisphère gauche à dominante objective, qui nous permet le raisonnement objectif (le raisonnement mathématique) ou analytique et même de nous concevoir nous-mêmes, de manière objective, en tant qu´objet, c´est-à-dire de nous regarder objectivement de l´extérieur de nous-mêmes, comme si nous étions mentalement dissociés de nous-mêmes ; c´est l´hémisphère de l´objectivité ou l´hémisphère-objet

Force est alors d´en conclure que notre cerveau est organisé selon la loi de la syntaxe. La relation entre l´hémisphère gauche et l´hémisphère droit est très exactement celle du sujet et de l´objet.

Ce qu´aucun neurophysiologiste n´a vu.

Et, bien entendu, si, comme nous l´avons vu (voir p. 10 l´article Syntaxe de la mer éternelle,
pourquoi la physique sans syntaxe est incapable d´expliquer le monde), tous les

animaux utilisent, en chacune de leurs actions, la syntaxe, bien qu´ils l´ignorent en tant que telle, c´est nécessairement parce que la syntaxe est la loi de toute action.

Toute action implique le moteur énergétique qui permet de l´accomplir, c´est-à-dire le verbe.

Donc le verbe est l´énergie, qui est le moteur de toute action. Et le verbe de la syntaxe n´est que la représentation langagière de l´action physique, qui est un "état de de choses" composé d´objets simples qui peuvent être nommés, donc transcrits en langage. Rappelons ce que dit Wittgenstein.

« Les états de choses sont composés d´objets simples, donc chacun peut être nommé. Ces noms peuvent être combinés selon des modes qui expriment des propositions élémentaires. Chaque proposition élémentaire est indépendante de ses semblables. Elles sont toutes positives et chacune d´elles dépeint un état de choses possible qui constitue son sens. Ces descriptions elles-mêmes sont des faits et ont en commun avec ce qu´elles représentent une forme logique et picturale. Qu´elles possèdent cette forme, c´est là ce qui ne peut faire l´objet d´une assertion, mais qui peut simplement être montré. Le fait qu´elles sont logiquement indépendantes signifie que, pour rendre complètement compte de la réalité, il faut dire lesquelles d´entre elles sont vraies et lesquelles sont fausses. En d´autres termes, la réalité consiste en l´existence et la non-existence respectives de tous les états de choses possibles. »

Nous sommes alors fondés à conclure -- ce que Wittgenstein n´a pas fait -- à l´identité formelle et totale des actions du monde -- les états de faits -- et des états de choses -- le langage -- qui les décrivent. Cette identité implique l´identité formelle de la physique et du langage. Et, bien entendu, l´identité de la physique et du langage implique que la physique soit gouvernée par la même loi logique que le langage, à savoir la SYNTAXE.

Ps: lisez la page 60 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

bon ont se repose 1heure et ont repars pour lé cours !!!!!!!!!! ca vas vous suivé ?

Je pense que ce sera beaucoup plus facile de comprendre la relativité avec un exemple:

Tout d´abord, la relativité restreinte:

Mentionnons premièrement les deux règles de base de la relativité restreinte:
1. Les lois de la nature sont identiques pour tous les observateurs de l’univers
2. La vitesse de la lumière ne varie jamais et elle est aussi indépendante du mouvement de l’observateur. Sa vitesse est de 299 792 458m/s.

La vitesse de la lumière est constante peu importe la vitesse de l’observateur. Si la vitesse de la lumière est constante c’est le temps qui varie. Il peut se “contracter” ou se “dilater”. Donc il peut passer plus ou plus lentement à un endroit qu’à un autre.

Deux vrais jumeaux en scène: Alain décide de faire un voyage à 95\% de la vitesse de la lumière pendant que George reste sur la Terre. Alain fait un voyage de 50 années lumière aller-retour. À son retour de voyage Alain rencontre Georges! Stupeur! Alain voit son frérot qui à 35 ans alors que lui en à 72! Le voyage à une vitesse proche de celle de la lumière à agit comme un élixir de Jouvence. Pire, pour Georges c’est Alain le voyageur dans sa fusée. C’est comme si c’est la terre qui se déplaçait. De son point de vue, il a 72 ans et son frère en a 35!

Je pense que ce sera beaucoup plus facile de comprendre la relativité avec un exemple:

Tout d´abord, la relativité restreinte:

Mentionnons premièrement les deux règles de base de la relativité restreinte:
1. Les lois de la nature sont identiques pour tous les observateurs de l univers
2. La vitesse de la lumière ne varie jamais et elle est aussi indépendante du mouvement de l’observateur. Sa vitesse est de 299 792 458m/s.

La vitesse de la lumière est constante peu importe la vitesse de l observateur. Si la vitesse de la lumière est constante c est le temps qui varie. Il peut se contracter ou se dilater. Donc il peut passer plus ou plus lentement à un endroit qu´à un autre.

Deux vrais jumeaux en scène: Alain décide de faire un voyage à 95\% de la vitesse de la lumière pendant que George reste sur la Terre. Alain fait un voyage de 50 années lumière aller-retour. À son retour de voyage Alain rencontre Georges! Stupeur! Alain voit son frérot qui à 35 ans alors que lui en à 72! Le voyage à une vitesse proche de celle de la lumière à agit comme un élixir de Jouvence. Pire, pour Georges c´est Alain le voyageur dans sa fusée. C´est comme si c’est la terre qui se déplaçait. De son point de vue, il a 72 ans et son frère en a 35!

Voilà, je pense que c´est plus lisible comme cela!

Au fait, Royce, pourquoi as-tu écrit dans ton message du 15 mars 2002 à 12:07:41 une référence de page (p. 10 l´article Syntaxe de la mer éternelle)? N´aurais tu pas fait un vulgaire copier-coller? Pire: tu n´aurais donc pas lu ce que tu marquais???

non pas de copie colléé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

COMPRIS JOJJOOJJOJOJOJO lol

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

vous voelz un cours sur la gravité ?

LA SUPERGRAVITE

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Six cent mille ans après le Big Bang, les instruments d´optique, à commencer par l´oeil, nous fournissent des images objectives de l´Univers. Celles-ci nous montrent un monde organisé, à des niveaux pouvant aller de l´infiniment petit à l´ infiniment grand. C´est la gravitation qui est à l´origine de toutes ces structures de l´Univers à des échelles cosmologiques. Force créatrice par excellence, c´est en effet à elle que nous devons l´émergence des premières galaxies à partir de craquelures dans la boule dense initiale du big bang, la fragmentation des nuages de gaz en étoiles, la création des planètes par agglomération de débris interstellaires... Mais la gravitation peut, dans certains cas, devenir une implacable force destructrice.

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Durant sa vie lumineuse, l´étoile peut être schématiquement comparée à un ballon de baudruche chaud que la gravité cherche à comprimer. Tant que l´étoile reste suffisamment chaude, grâce à la formidable quantité d´énergie produite par les réactions nucléaires qui se produisent dans son noyau, elle reste gonflée. Grâce à cette énergie, on dit que l´étoile est en équilibre thermique : la gravité est compensée par cet apport d´énergie colossal. Mais dès que l´étoile a épuisé tout son combustible, elle se refroidit inexorablement et la gravité peut reprendre le dessus : l´étoile se dégonfle, et rétrécit de plus en plus, la barrière thermique ayant été supprimée.

Quand l´étoile, jusque là gonflée, se comprime, sa densité augmente considérablement. Les particules sont de plus en plus proche les unes des autres. A ce moment là intervient une seconde barrière : la barrière électronique. Les électrons, particules qui gravitent autour du noyau des atomes, ont en effet une particularité physique inaliénable : ils repoussent invariablement les particules de tout type qui portent des charges négatives. Or, étant eux-même de charge négative, deux électrons trop proches tendront à se séparer: en-deçà d´une certaine distance les séparant, ils réagissent par de violents mouvements désordonnés produisant une pression gigantesque qui empêche tout rapprochement supplémentaire. Cette barrière interdira alors toute diminution du volume de l´étoile. Une étoile qui avait initialement les dimensions et la masse du Soleil peut ainsi se voir réduire à la taille d´une planète comme la Terre : la gravité réussit à contenir toute la matière initiale dans un volume un million de fois plus petit. Pour cette étoile, qui est devenu ce que l´on appelle une naine blanche, la gravité a dit son dernier mot, mais ce n´est pas toujours le cas.

Dans le cas d´une étoile beaucoup plus grosse, la situation peut devenir beaucoup plus critique. Il peut arriver en effet que, sous l´énorme pression des couches extérieures, la pression des électrons ne suffise plus à maintenir l´édifice en équilibre: la barrière cède, et l´ensemble continue sa lente compression. Les électrons, compressés à outrance, fusionnent avec les protons des noyaux (des corps chargés positivement) pour donner des particules neutres, les neutrons. Ces neutrons, à leur tour, vont dégénérer et, en créant des forces de pression bien supérieures à celles créées par les électrons, vont parvenir à stopper le plongeon de la matière vers le centre de l´étoile. Cette fois ci, l´étoile initiale est réduite à une minuscule sphère d´à peine 5 kilomètres de rayon ! Newton et sa loi de gravitation nous disent que la force d´attraction est proportionnelle aux masses et inversement proportionnelles au carré des distances : rien d´étonnant que ces étoiles minuscules, appelées étoiles à neutrons, soient des lieux par excellence de supergravité. Alors que la gravité est égale à 1g au niveau de la Terre, elle est de 130 milliards de g (!) sur une étoile à neutrons telle que Geminga, la plus proche des étoiles à neutrons située à 510 années-lumière du Soleil. Dans un tel champ de gravitation, l´Everest, qui culmine à plus de 8800 mètres, serait réduit à une vulgaire bosse de quelques millimètres d´épaisseur ! Mais de toute façon, il n´y a pas de raison de vouloir se rendre sur une telle étoile : à environ 2000 kilomètres de sa surface, la vitesse de tout corps atteint au minimum une vitesse de 12000 km/s, et le temps est fortement ralenti (effet relativiste de la gravité). Mais s´il n´ y avait que cela... A cette altitude, les effets de marée gravitationnelle (c´est-à-dire la différence de gravité entre nos pieds plus proches du sol et notre tête) atteindraient 10g, soit le maximum que le corps humain peut supporter. Si malgré tout la chute se poursuit, la vitesse du corps atteindra le tiers de la vitesse de la lumière (soit 360000 km/h) au moment de l´impact avec la croûte de neutrons.

Enfin, dans des cas beaucoup plus rares, l´étoile est si dense que même la barrière des neutrons cède. Aucun phénomène ne peut s´opposer à la poursuite de la contraction. L´étoile s´effondrera alors pour devenir le lieu absolu de la gravité : le trou noir. Contrairement à son nom, le trou noir n´est pas un trou mais bel et bien une étoile, initialement beaucoup plus volumineuse que le Soleil, qui s´est écroulée sur elle-même. En fait, le nom de trou noir lui vient d´une de ses propriétés physiques : jusqu´à trois kilomètres de la surface, on ne rencontre aucune matière, mais la vitesse de tout corps devient celle de la lumière. A ce point, nous n´aurions plus aucun moyen de communiquer avec l´ extérieur, car la lumière de nos signaux n´a plus aucune chance de s´échapper : le corps est définitivement englouti par le trou noir. En ce sens, le trou noir mérite donc bien son nom car il agit comme un puits gravitationnel d´où nul ne peut s´ échapper, même la lumière.

Fin de l´exposé :

commentaires? erreurs? suggestions?

Anti-gravité

Le vaisseau sphérique s´accroupissant sur un socle de béton émet un fredonnement faible. Une lueur fantomatique entoure sa coquille. L’étrange vaisseau monte et plane momentanément tandis que son train d´atterrissage se rétracte. Tandis que le fredonnement augmente et que le vaisseau file vers l´est et disparaît au-delà de l´horizon avant que les scientifiques témoins ne puisse cliqueter leurs chronomètres.

Missile à réaction ? Non. Rendu léger et propulsé par son moteur anti-gravité, le vaisseau rond est un véhicule de recherches capable de voyager presque à la vitesse de la lumière.

Quand est-ce qu´un vaisseau si révolutionnaire prendra les cieux?

Depuis 1953, le gouvernement de Canadien travaille sur le projet MAGNET, il s’agit d’un véhicule de défiant la gravité actionné par des forces électromagnétiques.

Au moins 14 universités américaines et d’autres centres de recherches travaillent d’arrache-pied afin de briser la barrière de la pesanteur. Basés sur la côte occidentale, Glenn L. Martin Aircraft Co. de Baltimore, MD., Bell Aircraft Co. de Buffalo, NY et Sperry GYROSCOPE Co. de Great Neck, NY. maintiennent leurs équipes de chercheurs et d´ingénieurs dans la recherche du secret le plus jalousement gardé de la nature – LA PESANTEUR.

" L’aviation est sur le point de découvrir de nouveaux concepts, " a dit le défunt Laurent D. Bell, constructeur de haut niveau d’avions de recherches chez Bell. " Nous travaillons déjà avec des carburants nucléaires et des équipements pour supprimer la gravité au lieu de la combattre. "

Avant même que la célèbre pomme ne tombe sur la tête d´Isaac Newton, les hommes essayaient de résoudre le problème de la pesanteur. Mais du simple levier préhistorique aux machines modernes les plus complexes, le meilleur que nous pouvions faire n’était que de gagner une victoire provisoire.

" Ce qui monte doit descendre, " ont dit les plus grands cerveaux scientifiques, avant la découverte de la mystérieuse traction de la pesanteur. Newton et d´autres grands physiciens ont formulé les lois de pesanteur, ont mesuré la traction de cette pesanteur et ont passé leurs résultats vers la postérité.

Mais leur " loi " de la pesanteur a eu plusieurs exceptions qui ont titillées les esprits. Prenons le comportement étrange des liquides, par exemple.

Déplacez le bout de votre doigt lentement sur la surface de l´eau et observez l´eau sauter jusqu’à atteindre votre doigt. Ou mettez une paille dans l´eau et regardez le niveau d´eau à l´intérieur de celle-ci qui se situe au-dessus du niveau extérieur dans un total défit à la pesanteur terrestre.

Pour obtenir bien plus de contradiction saisissante des lois de pesanteur, draper une serviette au-dessus du bord d´un bassin à moitié plein d´eau. Après un moment, l´eau montera vers le haut de la serviette et de l’autre côté.

Ceci et d´autres étranges tours gravités ont été considérés comme phénomènes de l´ATTRACTION MOLÉCULAIRE - phénomènes tout à fait indépendant de la pesanteur – jusqu’à ce qu’Albert Einstein ait proposé sa théorie de la relativité.

Einstein a indiqué que l´attraction moléculaire n’est en aucun cas différente de la traction gravifique des planètes et des étoiles. Il a théorisé que cette attraction fonctionne selon le même principe que l´électromagnétisme.

Une molécule, une planète ou une étoile ont toutes des champs de gravité, tout comme les aimants ou les électro-aimants ont leurs champs magnétiques. Pour illustrer la similitude, Einstein a indiqué qu´un champ de gravité attirerait et plierait des rayons légers tout comme un champ magnétique plie les rayons cathodiques dans votre tube d´image TV.

Le Dr Stanley Deser et Le Dr Richard Arnowitt du Princeton Institute for Advanced Study ont récemment découvert de nouvelles particules sub-atomiques. Bombardé par de puissants accélérateurs électromagnétiques tels que le Cosmotron et le Bêtatron, la structure atomique a restitué d’étranges particules qui peuvent être la réponse au problème du champ de gravité.

" Jusque récemment, on ne pouvait observer que l´attraction universelle mais non expérimentée de façon contrôlée, " Les docteurs Deser et Arnowitt ont écrit dans leur rapport que " les nouvelles particules atomiques qui ont été liées avec le champ de gravité peuvent maintenant être examinées et travaillées à volonté. "

La nouvelle découverte signifie que d’ici peu nous pourrons commuter la pesanteur selon un mode marche/arrêt tel que pour l´électricité et l´électromagnétisme. La prochaine étape logique est donc la maîtrise de cette technologie.

Prenons une roue ordinaire suspendue à des roulements cylindriques et couplés à un générateur électrique puissant. Un côté de cette roue serait " sous le feu " de notre appareil anti- gravité. Les particules responsables de l´attraction de la gravité seraient alors neutralisées, une partie de la roue seraient donc rendue plus légère.

Mais une fois hors du champ anti-gravité, la même pièce de la roue regagnerait du poids et serait abaissée par la pesanteur terrestre, et ainsi donner un puissant moteur rotatif.

Une autre idée pour un dispositif anti-gravité vient de Dr George Rideout, président de la Gravity Research Foundation de New Boston, N.H.

" Pour faire un moteur anti-gravité, " explique le Dr Rideout, " nous avons besoin d´un différentiel des forces de pesanteur et nous pouvons l´obtenir à l’aide d’un isolateur ou un amortisseur de pesanteur. " Pour entrevoir comment un tel dispositif pourrait fonctionner, tournons-nous vers le frère jumeau de la pesanteur – l’électromagnétisme.

Pendant des années nous avons eu des ennuis avec les montres qui ont étés magnétisées. Vous avez fait un appel téléphonique ou avez bricolé avec la batterie de votre voiture et très vite, la roue d´équilibre hypersensible de votre montre, exposée à un champ électromagnétique, est devenue un petit aimant. Votre montre n’est alors plus une montre fiable.

Pour protéger une montre contre les influences magnétiques, nous mettons les roulements intérieurs dans une enveloppe molle de fer qui absorbe la force magnétique et protège la roue d´équilibre. En d´autres termes dans l´enveloppe molle de fer nous avons un espace libre de toute traction magnétique extérieur - nous avons donc alors un différentiel des forces magnétiques.

Un amortisseur ou un bouclier de pesanteur ferait la même chose pour le vaisseau spatial anti-gravité. L´intérieur protégé serait exempt de l´attraction de la pesanteur de la terre. La structure, l´équipement et l´équipage intérieurs seraient légers par rapport à la terre. Ainsi, nous aurions un différentiel des forces de pesanteur et notre vaisseau décollerait immédiatement comme un superbe-ballon.

Pour la facilité du calcul, supposez que nous prenions notre vaisseau gravifique et embarquions à l´équateur où la vitesse de rotation de la terre est environ 1000 mph. Notre bouclier anti-gravité complètement fermé, le vaisseau gravifique embarqué serait lancé dans l´espace juste comme une particule de boue est éjectée d´un pneu en rotation. Nous dériverions le long d´une ligne plus ou moins droite à moins d’avoir une certaine manière de commander la direction et la vitesse.

L´apesanteur du vaisseau gravifique pourrait être facilement commandée en laissant une partie de l´acte de force de la pesanteur terrestre sur l´intérieur du bateau. Un arrangement des obturateurs comme les abat-jour vénitiens ferait le tour. Pour commander notre direction, nous aurions besoin de poussée. Une fusée nous limiterait à la quantité du combustible, ainsi essayons-nous à autre chose.

Nous pourrions avoir une fusée ionique telle que proposée par le Dr Ernst Stuhlinger ou une fusée nucléaire où des particules sub-atomiques sont accélérées par un puissant pistolet électromagnétique puis éjectées dans l´espace. Nous pourrions également utiliser la répulsion électromagnétique.

Nous savons que deux pôles magnétiques identiques se repoussent, comme dans certaines conditions un champ électromagnétique repousse les prétendus métaux diamagnétiques. Prenons un anneau plat en aluminium, mettons-le au-dessus d´un puissant électro-aimant et alimentons-le en courant électrique. Le disque volera outre du solénoïde à toute vitesse.

Commençant par ce principe de répulsion diamagnétique, un groupe de scientifiques canadiens du projet Magnet propose d´unir les champs magnétiques de la terre et d´autres corps célestes pour la propulsion du vaisseau gravifique.

Le champ magnétique de la terre est trop faible pour repousser ou propulser un vaisseau gravifique fait de métal ordinaire. Cependant, les études en cours sur la nature du magnétisme tendent vers une solution envisageable. Les scientifiques pensent que la réponse se situe dans la structure des atomes.

En permutant la structure atomique, nous pourrions considérablement augmenter les propriétés diamagnétiques du vaisseau gravifique et le faire voyager le long des lignes de force magnétiques comme l´anneau en aluminium projetant le solénoïde.

Selon des théories d´Einstein, il n´y a aucune extrémité aux champs électromagnétiques et de la gravité des planètes et des étoiles.

Ces champs interviennent dans un modèle plus complexe mais n’y sont jamais présents. Le choix approprié des champs et l´exposition contrôlée à leurs forces nous laisseraient diriger notre vaisseau gravifique dans l´espace aussi bien que dans les limites de la terre. De plus, l´utilisation de la propulsion électromagnétique éliminerait le problème du carburant.

Maintenant, jetons un coup d’œil plus étroit sur le vaisseau gravifique. Sa forme sphérique est dictée par la pressurisation interne nécessaire pour l´altitude élevée et le voyage d´espace. Du point de vue de la technologie, une sphère est idéale pour faire face à la différence de pression. En outre, elle donne le volume maximum pour ses dimensions. Un anneau artificiel intérieur de pesanteur résoudrait les problèmes de la vie dans un vide léger.

Le bouclier anti-gravité cacherait complètement la vue à la cabine passagers et d´équipage. Ceci éliminerait l´observation visuelle directe. Cependant, nos radars et écran de télévision actuels donneraient à l´équipage une excellente vision électronique.

Indépendamment de la carlingue, il y aurait une salle des moteurs pour le moteur anti-gravité et une source d’énergie auxiliaire afin de couvrir les besoins de l´appareillage électronique. Puisque le vaisseau décollerait la terre vers l´atmosphère, il y aurait deux problèmes à surmonter - la chaleur provoquée par les frottements de l’air et la question de la traînée d´air due à la forme sphérique.

Pour supprimer l’échauffement, les scientifiques canadiens dirigés par Wilbur B. Smith contemplent un dispositif électromagnétique très ingénieux. Alimenté avant le décollage, le dispositif attirerait et retiendrait rapidement une grande partie de l´air autour du bateau.

Ce " coussin d’air " capturé se déplacerait avec le vaisseau. Par conséquent, le frottement d´air aurait lieu à distance de la structure du vaisseau et la chaleur serait absorbée avant qu´elle ne puisse réchauffer le bouclier anti-gravité du vaisseau. La masse d´air captif serait formée dans la forme aérodynamique la plus avantageuse. En forme de goutte pour les vitesses modérées, d’axe pointu pour le supersonique et concave pour faciliter la décélération durant l´atterrissage

voila bon demain controle sur l´anti gravité

mmmmdddddddrrrrrrrrrrrrrr lol :o)

voulez vous qu ont continue nos cours tres dur a comprendre ???????

voté qui veulent qu on s´arrete ??????

qui veulent qu on continue ???????

Ps: joojojojoojooooojjjjooo t´enseigne ou t cours ???????????,,

pouré c changé d idée et fair avancé l´univers
tu crois pas ??????