Oh rien .
Otwhap, et la couverture que tu m'avais promise, elle en est où ?
De toute façon le retard, c'est la faute à FFX que j'ai commencé il y a pas longtemps.
Espérons que ce sera super efficace.
"Lecteur Enragé utilise Rage pour un chapitre."
"C'est Super Efficace."
"Lecteur Enragé draine la vie de milolaidus sauvage."
"Lecteur Enragé utilise Au boulot ! ."
"Milolaidus sauvage récupère 1 PV."
"Milolaidus ne peut plus qu'utiliser l'attaque Ecrire."
Milobellus utilise : "may cay lay vacances ! "
Okay.
"Lecteur enragé utilise Pas de vacances sans nouveau chapitre!"
C'est super efficace! Coup Critique!*
Luffi sauvage utilisé langage français et dit dépêche toi pour le prochain chapitre
Milolaidus écoute ces parole et se dépêche de le faire
Donc tu l'as quand même fini.
Au pire s'il y a trop d'attente je vous balance déjà les 5 premières pages. Je ne devrait à priori pas les modifier.
T'en est où dans le chapitre Milo?
A peut-près au même endroit qu'il y a deux semaines.
Mais bon hier j'ai réussi a relire le chapitre, à corriger des fautes et à écrire quelques lignes de plus. Avec mon système de motivation, le simple fait que je m'y soit remit et un grand pas vers l'achèvement de ce chapitre.
En fait il faut mieux que j'évite de m'arrêter, parce que souvent, quand je me suis arrêté quelques jours, j'ai du mal à reprendre.
Au pire tu demande des idée au lecteur
C'est pas tellement un problème d'idées en fait. Juste un problème de motivation. J'y travaille, mais c'est pas facile.
Enfin bon, il faut savoir se faire désirer, non ? P'têtre pas autant mais bon.
Finalement, je vais couper mon chapitre en deux par rapport à ce que j'avais prévu.
Le chapitre neuf ne devrait donc être qu'en deux parties assez courtes. Et le chapitre 10 la suite du chapitre 9 que j'avais prévu. Elle devrait se faire elle aussi en deux/trois parties.
Vu que je me sens inspiré, j'aurais peut-être fini tard ce soir. le temps de passer le texte à mon correcteur pour m'assurer que c'est potable, on peux espérer une sortie demain.
ben on te motive avec tou ces comentaire
La suite sort dès que j'ai une réponse de mon correcteur.
CHAPITRE IX : La réunion [1/2]
- Bien, je pense que nous avons fait le tour de l’aspect économique, passons maintenant aux dernières nouvelles.
Voyant que personne n’émettait d’objection de dernière minute, monsieur Far, le président, continua :
- Que s’est il passé de notable dans vos groupes respectifs durant ces six derniers mois ? Quelles initiatives avez-vous prises ? Y a-t-il eu du changement ? Vous connaissez la procédure maintenant. Nous allons faire un tour de table en commençant par Karl, notre chef hôte.
Tous les six mois, tous les chefs ainsi que le président, le trésorier, et les autres membres important de l’E.d.S., se réunissaient dans le bâtiment de Verdion-les-Champs (d’une certaine façon la capitale de l’association) pour faire le point. Les bâtiments de l’E.d.S. étaient donc fermés pendant quelques jours, sauf pour les chefs ayant un bon remplaçant sous la main. Durant plusieurs heures, dirigés par Mathias Far, président de l’association depuis une dizaine d’années, ils débattaient de tous les aspects de l’E.d.S., dans toute la région. Ils devaient tous former un groupe soudé, et agir de concert, pour le bien commun. Si chaque chef faisait ses petites affaires dans son coin, l’association n’avait plus lieu d’être. C’est pourquoi ils se réunissaient ainsi deux fois par an.
- Excuse-moi, Mathias, interrompit la plus jeune personne présente dans la salle.
Parmi les chefs de l’E.d.S., tout le monde se tutoyait. Ils se connaissaient bien, et avaient un peu le sentiment de former une grande famille.
- Oui Enzo ?
- Ce que je demande est peut-être un peu osé, mais… Je pense que, cette fois-ci, plutôt que de passer directement au cas par cas, nous devrions peut-être aborder un aspect récent qui me semble avoir son importance… Et qui concerne toute l’association, d’une certaine façon.
- Pourquoi pas ? Après tout, nous ne sommes pas pressés, non ? Sauf peut-être dans le cas de Connor. Mais où veux-tu en venir exactement ?
- Et bien, ça concerne principalement la nouvelle jeune recrue…Tu sais Mathias ! Je me suis dis que c’était une chose qui avait son importance, et qui touchait toute l’E.d.S., répéta Enzo.
- Tu veux encore parler de Brown ? soupira Connor. Décidemment, on dirait bien que c’est devenu le nouveau phénomène de cette association. Après tout, il sera peut-être meilleur dans le rôle de la mascotte qu’Eva. Elle commence à se faire vieille, dix-sept ans déjà !
- Je t’avais dis qu’on en parlerait. Et ce n’est pas à coup de sarcasmes que tu vas te défiler, cette fois !
- Pas de problème. Je n’ai rien à cacher, ni rien que je n’assume pas, tant que tu ne déformes pas les choses. Mais je me demande juste si c’était nécessaire de faire une annonce publique et de traiter ce cas à part, comme s’il s’agissait d’un incroyable rebondissement dans l’histoire de notre association.
Le ton commençait encore une fois à monter entre les deux chefs. Le président réagit rapidement :
- Bon, calmons-nous, essayons d’y voir clair, tempéra-t-il. Tu voudrais donc, Enzo, que nous évoquions ensemble l’inscription du jeune Brown et ses débuts dans notre association. Il n’est pas habituel que nous nous attardions sur un membre en particulier, mais vu que tout cela est assez exceptionnel, et que cette histoire à l’air de faire travailler les esprits, je n’y vois pas d’inconvénient.
Effectivement, depuis cette étrange initiative venue de Karl, Mathias Far avait plusieurs fois entendu parler de Brown. Que ce soit sont exploit sans cesse plus romancé contre le redoutable gang de la Team Delta, sa chute de la colline près de Boulocity, qui avait manqué de le tuer, le fait qu’il soit le plus jeune membre de l’E.d.S. et qu’il ait reçu avec ses deux amis le premier Pokédex depuis près de vingt ans… Ce jeune garçon, qui pourtant ne payait pas de mine, avait incontestablement le don pour faire parler de lui. Même s’il y avait peut-être aussi une part de hasard dans tout ce qui lui était arrivé en un peu plus d’un mois. « S’il m’arrivait des choses comme ça aussi souvent, ma vie serait beaucoup moins ennuyante », pensa le président avec amusement. « Elle durerait sans doute moins longtemps, aussi. » Et pourtant, il en avait connu, lui aussi, des événements trépidants. Mais cela faisait bien longtemps. Si longtemps… Enfin, peut-être que les choses allaient changer, bientôt. Il fallait espérer.
- Oui, après tout, continua-t-il. Vous, les chefs de l’E.d.S, cela vous concerne tous ou presque. Brown ne devrait à priori pas passer par Turkoisia ou Cramoision, mais pour les autres, c’est peut-être un sujet de préoccupation. Dois-je porter une attention particulière à ce jeune membre de passage, en plein voyage initiatique ? Ou au contraire le traiter comme tous les autres ? Faut-il que je sois là à chacune de ses missions ?...
- Ah non ! réagit Connor. Je garde déjà un œil sur lui, il faudra bien qu’il apprenne à avoir un peu d’autonomie. D’ailleurs, je suis près à prendre le risque de le laisser seul, parfois, lors de certaines missions. Si on le couve trop, non seulement il devient un poids plutôt qu’une aide, mais en plus, il n’y gagne rien lui-même !
- Ca fait donc déjà un point à régler, reprit Mathias. Est-ce que quelqu’un ici a une objection à faire sur ce que vient de dire Connor ?
Quelques rumeurs montèrent dans la salle. Un « oui, bien sûr qu’on ne peux pas être tout le temps sur son dos » venu d’une femme d’âge mur, chef de l’E.d.S. de Purplaville, émergea à un moment de cette bouillie de mots. Visiblement, tout le monde était à peu près d’accord.
- Bien, ça, c’est réglé !
Mathias tapa quelque chose sur l’ordinateur portable qui était toujours allumé, à sa droite, durant les réunions.
- Si on ne veut pas se perdre, ou oublier des choses, on devrait peut-être commencer par le début, suggéra Enzo. Après tout, certains ici n’ont pas vraiment étés mis au courant, si ce n’est par quelques rumeurs. Il faudrait mettre tout cela au clair.
- Tout à fait. Je pense déjà connaitre les grandes lignes de l’histoire, mais nous allons plutôt laisser la parole à Karl. Après tout, c’est de lui que toute cette histoire vient.
Finalement, ce fut bien Karl qui eu en premier la parole, mais pour un sujet plus spécifique que ce qui avait été prévu au départ. Voyant que c’était à son tour de parler, il but une gorgée de la bouteille d’eau qu’il avait près de lui (outil indispensable pour une longue réunion) se racla une ou deux fois la gorge et décrivit sa version des faits.