bon niva tu es la pour dire si c est encore la nuit ou le jour ????
Qui ça, il?
Je ris de nintales qui casse tout le RP de Xabab
Bah Celebi
Bah quoi?
Je veux cette Xaelia pour moi et rien que pour moi. Si je ne connais pas l'identité de la personne avec qui elle traîne pour pouvoir... lui parler en secret , je ne saurais pas quoi faire.
/RP
J'allai dans la forêt. Aussi, j'avais décidé qu'aujourd'hui, Xaelia serait mienne!
J'avançai dans les bois. Grâce à mon Abra, ce fut chose facile d'avancer. Je cherchai Xaelia. Où peut-elle être? Entre les arbres, cachée car elle m'a vu? Sur un arbre, pour la même raison? Où bien ai-je eu une hallucination et elle n'est jamais rentrée dans la forêt?
J'errai dans les bois, bien décidé à trouver l'amour de ma vie. Où est-elle, me demandai-je?
J'avançai vers le centre de la forêt, vers l'autel à Celebi, son "dieu". Quand j'arrivai, étant myope, je ne pus distinguer que la forme d'une robe blanche sur le sol. Je m'avançai et réussit à distinguer la forme de Xaelia. Elle s'était évanouie. La pauvre, elle marmonnait des propos incompréhensibles, comme quoi Celebi lui était apparu, et qu'elle lui appartenait corps et âme. L'histoire des Zoroarks a dû la troubler, tellement qu'elle a crû voir Celebi. Je la pris donc et la ramenai chez moi, où je lui prodiguais les premiers soins. Elle se réveilla.
Et elle te fout une baffe . C'est ça ?
Nintales jaloux ?
RP/
"Qu'est-ce que je fais ici ? D'où vous vous permettez de faire ça ? me demanda-t-elle
- Madame, lui répondis-je, je vous ai trouvée évanouie devant l'autel de Celebi. Si les Zoroarks étaient passés par là, vous auriez été tuée cette nuit, inconsciente et faible comme vous étiez. N'oubliez pas que le Scalproie n'ose pas s'aventurer en forêt et que le Lovdisc ne peut pas protéger un lieu aussi vaste qu'une forêt. Je vous ai sauvée la vie, donc maintenant prenez un autre ton s'il vous plaît. Par ailleurs, je ne vous conseille pas de sortir, les bêtes doivent sûrement nous guetter dehors...
Est-ce que jbh avait un batiment (ludothèque , maison , ect)
Non ratatouille. Et dans tous les cas, fait ton perso comme tu le souhaites pour le RP.
Je ris de Nintales qui séquestre Xabab chez lui en jouant la carte de la peur ^^
Non, il ne s'est pas présenté.
A toi d'inventer!
Charles Tals qui séquestre Xaelia.
Voyons, Ludi!
/RP :
La prêtresse m'a giflé et fait un croche patte, puis m'a insulté. Elle sort ses griffes, la jeune femme.
Elle m'avait cloué au sol. Je ne pouvais plus rien faire. Ca me faisait une belle jambe, ça. Même pas capable de défendre une femme!
Elle sortit, et me laissait là, triste. J'espère juste qu'au moins, il ne lui arrivera rien...
Ah oui pardon.
Au moins tu ne m'as pas tabassé avec ton évoli.
J marchais dehors et vit en passant devant une maison une femme gifle un homme et le mettre a terre.
<<Sans doutes un soumis, me dis-je. >>
Rp off/
Desole Nin, c'etait trop tentant.
Xaelia Si tu restes avec moi, d'accord.
Fuck !!!! Mon message a été supprimé !
RP/
Je suis arrivé dans un village appelé Thiercelieux pour rejoindre mon cousin .
J'ai apprit qu'il était parti et me laissa seul , comme si je n'avais pas exister
Par la suite des personnes me parlèrent des Zoroark (pas la peine de tous raconter )
Pris de panique , je me diriga vers la sorti du village mais me fit téléporté à un endroit différent à chaque fois
Un coup je réaparru au dessus d'un homme qui c'était pris une sévère correction .
Je l'assoma en attérissant sur lui donc j'emmena le corps loin dans le milieu de la ludothèque
Puis j'acheta la ludothèque laissant cet homme pour mort ...
Je sortis prendre l'air. J'étouffai dans la maison de rocknels, un ami. Victime des Zoroarks. Certes, je ne me mélange pas avec le peuple, mais voir mourir un innocent m'est toujours douloureux. Heureusement, il nous avait prévenu de ses trouvailles. Damien. Jamais je ne l'aurai cru être une de ces affreuses bestioles. Et pourtant. Cela me confirma qu'il ne fallait jamais faire confiance à quiconque. De toute manière, que pourrait m'apprendre ces péquenauds ? Rien du tout, il n'avait pas les capacités de réflexion d'un homme de mon rang. Soudain, je fus retiré de mes songes par un brouhaha venant de quelques rues. La curiosité fut la plus forte, et j'allai voir.
Un homme importunait la prêtresse. Mais cette dernière ne se laissa pas faire. Elle le gifla, puis le mit à terre. Je m'approchais:
-Monsieur enfin, vous êtes un rustre ! Profiter ainsi du climat ambiant et de la faiblesse d'une femme. Comment osez-vous? Je fulminais presque.
Il s'en alla, penaud.
-Et que je ne vous y reprenne plus.
Je m'approchai de la donzelle, lui fit un baise-main, puis m'exprimais:
-Madame, je suis très agréablement surpris de votre capacité à vous défendre. Voulez-vous que je vous accompagne jusque chez vous, ou préférez-vous effectuer ce trajet seule? Je vous laisse le choix.