Ou allez vous sortir?

Je sais bien mais Tata c'est des voitures ( ou des supositoires ) de merde , la preuve :

Bon j'ai terminé mon rapport à 4h du mat' et j'ai du me lever à 9h aujourd'hui pour le rendre. je suis un peu explosé Je vous explique la suite du programme.

Le prochain épisode n°199 devrait être écrit et terminé aujourd'hui sauf contre temps, il portera sur le GP du Brésil (oh surprise ^^)

Episode 200 : Hors série
Episodes 201 et 202 : GP Abu Dhabi (sous réserve, il pourrait tenir en un seul épisode)

Ensuite la saison 5 sera terminée.

Il devrait y avoir un bilan hors story de la saison

et puis il y aura plusieurs épisodes d'intersaison car il y a des choses qui doivent encore se passer dans l'intrigue et surtout, il y a la course des champions!

Quand j'aurai fait tout ça, on passera à la saison 6 si bien sûr, vous me suivez toujours et si bien sûr il n'y a pas un vote négatif contre ma story puisqu'il devrait y avoir un genre de référendum ou une certaine lessive dans les storys (Je suis pour cette lessive mais j'espère ne pas passer à la trappe, ce serait con à 2 saisons de la fin )

Je viens de préparer le plateau pour la course des champions Il y aura 8 Nations pour 16 Pilotes
Parmi ces nations, on aura dans l'ordre alphabétique : Allemagne, Belgique, Espagne, Finlande, France, Grande-Bretagne, Scandinavie (je sais c'est pas une nation mais ils le font en réalité aussi )et USA
Parmi les pilotes, il y aura 5 Pilotes de F1, 6 Pilotes de Rallye, 2 en DTM, 2 en LMS et 1 en Nascar

Allechant tout ca!!!

T'as tout dit benoit !

+ tu ne passera pas à la trappe !

Saison 5, Episode 39 (n°199) : Alonso. Un mal pour un bien

Il y a des journées dans nos vies où on a l’impression que rien n’est normal. Ou plutôt, on a l’impression que l’on est dans un monde parallèle et que les choses n’obéissent pas aux mêmes règles. Je ne sais pas si ce dimanche fait partie de ces journées mais en tout cas, la parade d’avant course n’a rien d’une simple parade. Elle est totalement dédiée à Ayrton Senna, 20 longues années après son décès. Dans les tribunes fleurissent des banderoles, drapeaux, messages dédiés au champion brésilien. Ce sera d’ailleurs Viviane, sa sœur qui brandira le drapeau à damiers lorsque le vainqueur franchira la ligne d’arrivée. Toujours est-il qu’une espèce de chape de plomb s’est abattue sur la grille de départ et je ne sais plus trop si j’ai envie de prendre le départ. Pour être franc, j’ai envie d’en finir avec cette saison. La bagarre est belle avec Alonso et Hamilton, mais j’aurai tellement voulu représenter une autre marque que Mercedes.

Je retrouve mes esprits lors du tour de chauffe. Je suis à l’intérieur pour le premier virage, c’est l’occasion de tenter quelque chose. Si je sors devant l’un des deux pilotes présents sur la première ligne, je peux espérer me battre pour la victoire. Dés l’extinction des feux, je bondis de mon emplacement et je me retrouve à la hauteur de Lewis avant même d’aborder le S de Senna. Je me faufile à l’intérieur et je vire devant la Ferrari d’Alonso. Kubica a suivi ma trajectoire et il se retrouve 3ème devant Lewis, Senna et Sutil.

Après un premier tour très bien négocié, l’espagnol se met dans mon aspiration mais est trop long pour déboiter, le problème est qu’il évalue mal la distance au freinage et vient me toucher à l’arrière. Son aileron semble touché et cela se confirme puisque Kubica et Hamilton le doublent dans le premier intermédiaire. Cependant, il va sûrement changer de tactique et devrait avoir la piste libre devant lui pour enchainer les tours rapides, il ne faut pas l’enterrer pour autant. Senna, Sutil et Kobayashi complètent le top 6.

Kubica est vraiment parti très fort et au 10ème tour, il me fait l’intérieur très proprement au bout du premier intermédiaire. Je ne me laisse par faire et dés la première épingle, je lui fais le même genre de manœuvre. Au 13ème tour, il tente de me passer au premier virage mais je lui résiste. Il n’empêche que je ne suis pas très à l’aise avec la voiture et avec le train de pneus. Je ne me l’explique pas, peut-être ai-je été plus endommagé que je ne le crois avec l’erreur d’Alonso. Pour l’instant, je fais bouchon, tout le peloton me suit et Sutil en profite pour subtiliser la 4ème place à Senna.

Au 19ème tour, Kubica reste une menace permanente et je me loupe une fois de plus dans le dernier virage. J’ai des petits soucis à chaque fois que je freine, il en profite pour se mettre dans mon aspiration et me double en face des stands. Le public en a pour son argent. Au 23ème, c’est à son tour de faire un floche au bout du premier intermédiaire, je suis obligé de freiner pour éviter l’accrochage, surpris par la trajectoire de la Ferrari et du coup, Lewis galvanisé par son titre et toujours aussi opportuniste se faufile et passe devant moi ! Pire, son équipier, Adrian Sutil me fait l’intérieur à la première épingle en trouvant un angle très osé. Pour le coup, il vient de réaliser un dépassement de grande classe. Pour ma part, je peste de plus en plus sur mes pneus.

Je m’arrête à la fin de ce tour comme Kubica, Sutil, Senna et Ricciardo. C’est là que le polonais perd tout le bénéfice de son début de course canon puisqu’il se fait doubler et je ressors le premier. Je suis 10ème coincé entre les deux HRT ! Dés les premiers virages, le constat est le même, je me plains directement du comportement de ma voiture, ce n’était pas que les pneus, la monoplace est touchée. Comme cela peut m’arriver parfois quand je suis perturbé par ma machine, je commence à pointer un nombre incalculable de choses qui me dérangent. Après les pneus, c’est maintenant le soleil qui m’empêche d’avoir une bonne visibilité dans certains virages, notamment, le dernier.

Hamilton, leader, s’arrête au 26ème tour, laissant son ex-équipier Jenson Button prendre provisoirement la tête de la course avec sa Williams. Pour ma part, j’arrive, enfin à me débarrasser de Sainz Jr. dans le 33ème tour en lui faisant l’extérieur dans le double droit du second intermédiaire. Au 39ème tour, je suis 6ème à 5 secondes de Kobayashi devant moi. Button est toujours devant mais je sais aussi qu’Alonso et Hamilton sont entre lui et moi. Si l’espagnol gère ses pneus, il va peut-être l’emporter, ce serait un comble après avoir soi-disant tout perdu et avoir involontairement gâché ma course.

Au 46ème tour, Button et Maldonado s’arrêtent enfin. Je monte 4ème, Alonso mène. Je tourne un poil plus vite que Kobayashi mais l’écart ne diminue pas assez. La bagarre est épique, je lui reprends dixième par dixième mais malheureusement, je suis trop court et je termine à moins de deux secondes de sa Red Bull. Pour finir Alonso l’emporte héroïquement avec des gommes en lambeaux. A quelques tours prés, Lewis, Kamui et moi lui passions devant. Il me doit un peu sa victoire, si je n’avais pas fait bouchon en début de course, il n’aurait même pas eu sa place dans le top 10…comme quoi, un exploit ça peut parfois tenir à pas grand-chose. Il prouve néanmoins qu’il n’est pas triple champion du monde pour rien.

En plus de sa victoire, il se permet le luxe de me prendre ma place dauphin au championnat. Il a désormais 6 points d’avance sur moi. À Noter que ce podium est le premier de Kobayashi. Il est en train de sauver sa saison exécrable. Glock inscrit aussi le 1er point de Marussia cette saison, il était temps. McLaren pendant ce temps atteint la barre des 500 unités, cela fait une moyenne de plus de 27 points par course !

Classement

1 Alonso (6) (Ferrari)
2 Hamilton (3) (McLaren)
3 Kobayashi (7) (Red Bull)
4 Thirion (1) (Mercedes)
5 Button (14) (Button)
6 Maldonado (17) (Sauber)
7 Rosberg (2) (Mercedes)
8 Massa (21) (Toro Rosso)
9 Kubica (5) (Ferrari)
10 Glock (23) (Marussia)

Classement Pilotes

1 Lewis Hamilton (n°3) (McLaren) 321
2 Fernando Alonso (n°6) (Ferrari) 224
3 Maxime Thirion (n°1) (Mercedes) 218
4 Adrian Sutil (n°4) (McLaren) 179
5 Robert Kubica (n°5) (Ferrari) 108
6 Bruno Senna (n°12) (Lotus) 108
7 Nico Rosberg (n°2) (Mercedes) 100
8 Daniel Ricciardo (n°8) (Red Bull) 97
9 Jaime Alguersuari (n°10) (Force India) 85
10 Heikki Kovalainen (n°11) (Lotus) 73
11 Sergio Perez (n°16) (Sauber) 64
12 Pastor Maldonado (n°17) (Sauber) 59
13 Jerome D’Ambrosio(n°15) (Williams) 47
14 Kamui Kobayashi (n°7) (Red Bull) 45
15 Jenson Button (n°14) (Williams) 24
16 Dani Clos (n°19) (Proton) 18
17 Paul Di Resta (n°9) (Force India) 17
18 Sebastian Vettel (n°20) (Toro Rosso) 16
19 Felipe Massa (n°21) (Toro Rosso) 8
20 Jean-Eric Vergne (n°24) (HRT) 6
21 Timo Glock (n°23) (Marussia) 1
22 Jules Bianchi (n°18) (Proton) 0
23 Carlos Sainz Jr. (n°25) (HRT) 0
24 Vitaly Petrov (n°22) (Marussia) 0

Classement Constructeurs

1 Vodafone McLaren 500
2 Scuderia Ferrari 332
3 Mercedes GP 318
4 Lotus GP 181
5 Red Bull F1 Team 142
6 Sauber F1 123
7 Force India F1 102
8 Team Williams 71
9 Scuderia Toro Rosso 24
10 Malaysia One Proton F1 Team 18
11 Hispania Racing Team 6
12 Marussia GP 1

Dommage pour toi, mais cool pour Alonso Ta interet de lui reprendre la seconde place au dernier GP!

heureusement que t'es là Benoit J'ai failli bider

super episode

Merci Si j'ai le courage, je fais le 200ème today

Owwwi , de toute façon à Abu Dhabi la victoire est déjà faite

super course mais dommage que tu sois pas sur le podium

Voiture de merde ! Bien jouer quand même max.

Abu dhabi, c'est du gâteau !

dommage que tu soit chez Mercedes ..

Aller bonne chance pour Abu Dhabi

Episode n°200, Hors Série : Et si …

La voiture de sécurité se range et les bolides reprennent la course. Senna et Schumacher prennent le large rapidement dans le cinquième tour. Il est 14h17, le brésilien passe la ligne en tête mais arrivé au premier virage de Tamburello, sa voiture vire hors de la piste à l’extérieur comme si elle avait soudainement refusé de tourner. Le choc est violent à plus de 200 km/h et la Williams vole en éclats, elle revient même sur la piste avant de s’arrêter au bord de celle-ci. Après être resté quelques secondes immobile, le casque jaune bouge et le pilote sort de son épave. Visiblement choqué, il s’appuie sur le rail de sécurité avant d’être pris en charge par les commissaires. Le temps de nettoyer la piste, la course reprend une bonne dizaine de minutes après. Schumacher l’emporte devant Larini et Hakkinen. L’allemand caracole en tête du championnat avec 30 points. Hill, son dauphin n’a que 7 petites unités dans sa besace. Senna est toujours à 0 points.

Alors que les médecins lui ont conseillé de se reposer, Ayrton Senna ne cesse de faire l’actualité, il veut renforcer la sécurité sur les circuits après le décès de Roland Ratzenberger. D’ailleurs, le grave accident de Karl Wendlinger, deux semaines plus tard à la sortie du tunnel à Monaco a définitivement fait réagir la FIA dans le sens du pilote brésilien. Dans la principauté, Senna réalise la Pole Position et réalise un cavalier seul pour remporter la course. Schumacher est second. C’est sa 7ème victoire en principauté, et encore, il aurait pu en remporter deux autres de plus si en 1984, le directeur de course, Jacky Ickx n’avait pas interrompu la course. Et si 1988 alors qu’il avait coursé, il n’avait pas tapé le rail au virage du portier.

La suite de la saison est un peu en dents de scie pour le brésilien. Plus occupé à renforcer la sécurité autour des circuits que concentré sur son sujet, il a encore du mal à dompter sa Williams. Son accident l’a changé. Sur les caméras de celui-ci, on peut voir qu’il a frôlé la catastrophe avec cette pièce de l’arbre de roue qui effleure son casque au niveau de la visière. Dix centimètres plus à gauche et il n’aurait peut-être plus été là pour le raconter. Toujours est-il que malgré la suspension de Schumacher en Italie et au Portugal, celui-ci remporte le championnat après une manœuvre peu glorieuse sur Damon Hill, son rival pour le titre lors de la dernière course à Adelaïde. Senna termine troisième à 11 longueurs de l’allemand et ce malgré ses trois victoires.

L’année suivante, beaucoup de circuits voient les mesures de sécurité méchamment renforcées et pour certains, un sérieux relooking s’est imposé. Le fameux virage de Tamburello où Senna a eu son accident est transformé en une chicane en 3 tournants. Pour ce qui est du championnat, le brésilien semble mieux armé. Il est plus en accord avec sa Williams et il enchaine les Pole Positions, il en réalise 10 sur 17 grands prix ! Il remporte également 6 courses pour 5 à Schumacher. Son équipier Damon Hill en remporte seulement 4. Alesi et Herbert s’offrent les deux autres succès. Le brésilien est sacré champion du monde pour la quatrième fois de sa carrière, le premier pour Williams.

Schumacher parti chez Ferrari, Williams est bien seul en 1996. Hill et Senna se partagent les succès. N’en laissant que 2 à l’allemand. Le brésilien décroche sa cinquième couronne après un final dantesque à Suzuka où à 10 tours de la fin, Hill était virtuellement sacré. Le brésilien lui mettant une pression intense avant de s’accrocher la Footwork de Rosset en lui prenant un tour. L’anglais avait du coup course gagnée mais il s’est déconcentré et s’est loupé à la dernière chicane. Obligé de repasser par les stands, il laissera la victoire à Schumacher et le titre à Senna. Le cinquième et le dernier pour le brésilien.

À 36 ans, il décide de mettre un terme à sa carrière en tant que pilote. Il rejoindra le staff de McLaren pour 1997. Année du premier titre de Damon Hill avec Williams, associé à Jacques Villeneuve, fils de Gilles. La bagarre fut intense entre les deux pilotes Williams et Schumacher.

Villeneuve décrochera la couronne en 1998 et la dernière pour Williams. 1999, 2000 et 2001 voient le finlandais Mika Hakkinen décrocher le saint graal avec sa McLaren. Chaque fois au nez et à la barbe de Schumacher. L’allemand qui s’offrira les trois couronnes suivantes en 2002, 2003 et 2004 pour Ferrari. 2005 et 2006 c’est Alonso pour Renault, 2007 Raikkonen pour Ferrari, 2008 Hamilton pour McLaren, 2009 Button pour Brawn GP.

En 2010, c’est Bruno Senna, bien coaché par son oncle qui remporte le titre pour McLaren. Il faut dire qu’Ayrton, convaincu de son immense talent, est arrivé à dissuader sa sœur, Viviane, de faire arrêter Bruno à l’âge de 9 ans après l’accident de son frère. Très rapidement admis dans la filière McLaren, il y suivra le même parcours que Lewis Hamilton. Les deux prodiges étant les fers de lance de la marque désormais.

…

Cet hors série n’est que le fruit de mon imagination. Que ce serait-il passé si Senna était sorti indemne de sa voiture ce 1er mai 1994 ? Je me doute que je n’ai pas la science infuse et que les choses ne se seraient peut-être pas passées ainsi. Mais n’est-il pas beau de rêver un peu ?
J’ai eu l’idée de faire cet épisode après avoir vu ce dessin. Ce ne sont que des coups de crayons mais je dois bien avouer que cette image m’a fortement marqué. Je la trouve tellement forte de sens, tellement bien choisie parce qu’elle laisse à notre imagination le soin de faire la suite. Si l’histoire avait été différente, elle aurait commencé par ce dessin. Il est juste magnifique…

http://www.mokoenashack.com/images/cYBsbD.jpg

magique

énorme épisode

superbe