Il n'avait aucune chance... J'ai toujours dit, depuis ses deux titres 2005 et 2006, qu'il était le meilleur pilote du plateau, mais depuis un an, sa voiture le bloque, et il n'avait aucune chance de rejoindre le podium. Mais voilà, sous la pluie, lorsque le talent et l'expérience prime sur la mécanique et l'électronique, il n'a commis aucune erreur, il a gardé la tête froide, et a su tenir sa position de leader après des arrêts au stand parfait.
C'est le Rocky de la formule 1, il a prouvé que rien n'est impossible et pourtant, même lui, il y croyait pas.
J'aurais parié qu'il ne finirait pas (comme à Monaco en 2008, Spa en 2010 et Montréal en 2011).