precise que c´est toi!
slt!!
salut caro!
lut dédé!!! alors? t´as mangé quoi hier soir?
ben jetait cher 1 copain , et ouai , chaufe moi la serveuse , et met moi 1 thee glacee a la peche de la marque lipton........
harder better faster.......
ouech j´ecoute Daft punk!!
Hum??
oups tu vas pas etre contente caro je vois un ice tea geant qui viens ici....
TOUS AU ABRITS!! bouwa!!
et pouquioi elle ne vien plus deydey
hier caro comment t´as chassé ton chat!
tas vu claustro??
.... lala la la!!! je suis prise par cette bonne musique!!
deydey vient plus parceque c´est a cause de son forfait non?
....... y as qq???
oui y as ce put1 de 30 sec!!
moi je sui stoujours la
je revien a 17 , je vais regarder les simpson
houla la serveuse est aussi chaude que leslie dans loft story!!!!
ah ouais tas regardé moi aussi
j´voulais t´asppeller mais j´avais pas ton n°..
bah viens sur le chat!je vais te le filer!
ok! merci!
dans les tresors de chocobo
bien , tu rentre dans la grotte de kwane , tu va au font de la grotte , cad dehort ou il y a lorloge , et dela n, tu regarde lecume , et ti suis.........
il faut le chocobleu foncer
nib,ta seveuse est chaude!
Saluuuuuuuut tlm! Désolé de venir vous dérangez (en plus j´ai pas de tunes pour consommer) mais je viens ici pour mettre le premier chapitre de ma fic... J´espère que tu m´excuse Eyko mais comme ça tu pourras dire que t´organises des spectacles dans ton bar! lol
Si vous aimez (ou si vous aimez pas) venez le dire sur mon topic (Le Manoir à DarkGaya), c´est d´aileurs là que je mettrais la suite! bonne lecture!
CHAPITRE PREMIER : LE DEBUT D UNE AVENTURE
Une belle et chaude journée enveloppait la paisible ville d Alexandrie, dont la légendaire épée colossale brillait de mille feux. Cependant on ne trouvait aucune gens dans les rues très chaleureuse du puissant royaume. Tout le monde était partis au château dans l intention d assister à la célèbre pièce de théâtre « Je veux être ton oisillon ». Et encore, dans les rangs de spectateurs impatients, on comptait de nombreuses personnes venues des royaumes voisins et de bien plus loin encore, mais aussi des amis intimes de la Reine comme Eyko (à présent fille du Roi de Lindblum et de sa femme), les huit enfants de Bibi (grand mage, malheureusement « parti rejoindre les étoiles » il y a à peine deux ans) et Kweena (qui avait accepté de quitter les cuisines pendant quelques heures). De la troupe des sauveurs de la planète, il manquait cependant Freyja qui aider avec Fratley le jeune Roi Puck à gouverner Bloumécia, Tarask dont on avait que très peu de nouvelles pour ne pas dire aucune, et Djidane. . .
On pouvait aussi contemplait la ravissante Reine, siégeant au balcon royal, et entourée de ces deux amis, Beate et Steiner, qui l aidaient également à gérer l immense pays qui s étendait sur plusieurs dizaines de kilomètres. Malgré les réjouissances dans laquelle baignait toute la ville, Dagga était très préoccupée et elle était surtout peinée de la perte d un de ses amis les plus chers : Djidane. Ce dernier avait péri au coeur de l Ifa, en voulant secourir leur ennemi juré, Kuja. Pourtant cela faisait bien trois longues années qu elle vivait sans lui, mais elle n avait jamais réussi à s y habituer. . .
Puis soudain, les bruits de la foule s atténuèrent lorsque le premier comédien monta sur scène. C était Bach, le chef des Tantalas, groupe à présent très connu de voleurs, qui avait accueilli pendant bien des années Djidane en son sein. Il était vêtu d une grande et voluptueuse robe, telle qu en porte les grandes dames de la grande noblesse.
-Bach- : Très chers spectateurs ! La pièce que nous allons jouer devant vous, nous vient d’un très lointain passé. . . L héroïne de cette histoire, la princesse Cordélia, et son amant Markus sont sur le point d’être séparés. . . La princesse décide alors de fuir le château familial, mais elle est ramenée devant son père, le roi Lear.
La pièce de ce soir commence alors que Markus et Cordélia décide de s enfuir ensemble.
Et à présent, Votre Majesté, Dame Beate, Capitaine Steiner, noble assistance et vous qui nous regardez du haut des toits, je vous demande d applaudir bien fort !
L imposant bonhomme quitta la scène et les lumières devinrent plus faible, faisant penser à un début de soirée. . .
Une comédienne fit alors son apparition en haut des faux remparts qui constituaient le décor, il s agissait de la séduisante Rubis, qui interprétait le rôle de la princesse Cordélia. . .
-Cordélia- : Sire Markus !
Elle descendit ensuite sur scène à vive allure car elle venait de repérer son amant : Markus qui n était qu un voleur. Le comédien était complètement caché des regards par un long manteau à capuche noir qui couvrait entièrement son visage et son corps.
-Cordélia- : Je brûlais de vous voir. . . Quand vous n êtes pas là, je ne vis plus !
-Markus- : Princesse. . . Une pauvre créature telle que moi ne saurait vous apporter le bonheur. . .
-Cordélia- Ne m appelez plus jamais « princesse » ! Markus, m aimez vous parce que je vais être reine ? Il n en ait rien, n est-ce pas ? Quand une reine se marie, elle n est rien de plus qu une marionnette. Les marionnettes rient-elles ? les marionnettes pleurent-elles ? Je veux être une personne simple capable de rire et de pleurer ! je ne veux pas être de ceux qui vivent constamment sous un masque !
-Markus- : Vous y avez donc tant réfléchi ! Si vous acceptez de ne pas être reine, je vous envelopperai de mon amour ! Laissez-moi devenir votre moitié ! . . . C est cela ! Dès demain, prenons le premier bateau !
-Cordélia- : Oui ! Emmenez moi où vous voudrez !
-Markus- : Oui, partons ! Ni la pluie, ni le vent ne nous retiendront !
Markus, après avoir donné un dernier baisé à sa bien-aimée qu il devait retrouver le lendemain matin pour leur échappée finale, quitta les lieux.
Cordélia à présent seule, partageait deux sentiments contraire. Elle était heureuse de partir avec la personne qu elle aimait, mais elle était triste à l idée de perdre sa famille. . .
-Cordélia- : Pourquoi notre amour doit-il être si doux et si amer. . . Je ne demande qu à vivre avec celui que j aime. . .
Franck (rôle joué par Franck bien évidemment) avait écouté toute leur conversation caché dans un coin de la scène et il ruminait dans son coin. . .
-Franck- : Si je n interviens pas, une nouvelle guerre éclatera. Je suis désolé mais je ne peut pas vous laisser ensemble.
Il bondit subitement devant la princesse qui rêvassait de son avenir, et qui fut tiré or de ses songes.
-Franck- : C est vous Cordélia ?
-Cordélia- : Oui, mais. . .
-Franck- : Vous connaissez Markus ?
-Cordélia- : Que lui est-il arrivé ?
-Franck- : Et bien. . .
-Cordélia- : Outch ! . . .
S approchant d elle en faisant semblant d avoir une nouvelle importante à lui annoncer, il donna un puissant coup de poing dans l estomac de la princesse qui tomba au sol, inconsciente. Puis il l amena au dehors de la scène.
Ce qui devait être plusieurs heures après dans la pièce, au petit matin (une lumière un peu plus intense le représentait), Markus arriva sur scène, qui était à présent le port, là où il devait rejoindre Cordélia.
-Markus- : Cordélia ne viendra pas. . .
Un autre homme arriva alors à l allure plus décontractée, portant un marteau à la main : c était bien entendu Cina, qui joué son propre rôle.
-Cina- : Nous allons bientôt devoir partir. Peut-être que la paix régneras si vous embarquez seul, c est ce qu a dit Franck . . . Qu allez vous faire ?
-Markus- : Elle m a dit qu elle ne pouvait vivre sans moi. . . Le ciel s éclaircit à l est. . . Le soleil ne nous bénira pas. . . Nous ne sommes pas comme ces oiseaux, nous ne pouvons pas nous envoler librement. . .
-Cina- : Markus. . . Nous ne pouvons plus attendre ! Nous partons !
Cina sortit alors de scène, laissant seul l amoureux déchu.
-Markus- :M aurait-elle trahi ? Non, Cordélia n aurait jamais pu. . . J ai confiance en elle ! Ainsi ma prière sera exaucée ! Puisque le soleil ne nous bénit pas, je m adresserai au deux lunes !
Une musique plus forte et rendant parfaitement l effet tragique de la scène résonna au dessus de Markus, qui commença à faire de grands gestes désespérés vers le ciel.
-Markus- : Oh ! Splendeurs lunaires ! Entendez ma prière !
Le talentueux comédien se dévêtit soudain de son long manteau et créa une surprise générale qui ébahit toute l assemblée. C était Djidane, le fameux voleur, l être aimé, le sauveur de l humanité, . . .
Dagga fut d ailleurs la première atteinte par la surprise mais aussi par l incompréhension la plus totale. Elle descendit de son trône, pensa pendant deux secondes à sauter du balcon, mais elle préféra passer par les escaliers. Elle partit donc à l arrière du balcon, où se trouvait la porte qui rejoignait le rez-de-chaussée. Mais Steiner et Beate lui barrèrent tout d abord le passage, le visage ferme, puis tout deux laissèrent apparaître un grand sourire et lui ouvrirent la porte avec élégance. Dagga continua sa course folle, enjamba quatre à quatre les marches, puis arriva enfin au niveau de la scène mais il lui restait encore à traverser la foule compacte. Elle bouscula la majorité des personnes présentes sur son chemin mais elle s en moquait, seul Djidane occupait de la place dans ses pensées et son coeur. Elle faillit perdre l équilibre à deux reprises, écrasa une dizaine de pieds, poussa autant de corps, pour enfin arriver en vue de la scène, enfin. Cependant, un malheureux coup de coude frôla son visage mais ne toucha réellement que ses épaules et son cou. Par cette action, le collier qui soutenait le pendentif du trésor national d Alexandrie, fait de diamant et de cristal, cassa et l objet à la valeur inestimable et représentant le pouvoir et la grandeur du royaume tomba au sol quelques mètres en arrière. La Reine se figea et voulut se retournait pour le chercher mais une voix aiguë et stridente retentit dans son esprit : « Non ! D abord Djidane ! Il est plus important ! ». Dagga stagna à nouveau sur place car elle fut désorientée par la mystérieuse voix puis, guidée et suivant ce conseil, elle laissa son pendentif de côté et alla retrouver l amour de sa courte vie. Elle réussit finalement à grimper sur la scène et là elle se jeta de tout son poids sur Djidane qui l accueillit à bras ouvert et l étreignit le plus fortement possible. Enfin, après ces trois années de deuil et de chagrin, elle venait de retrouver Djidane, qui lui aussi était tout aussi heureux à ce moment là.
Tout le public présent applaudit pour saluer la venue de Djidane, que beaucoup ne connaissait pas, et surtout pour célébrer l union de la Reine avec ce mignon garçon si mystérieux.
Ils restèrent l un dans les bras de l autre un long moment mais après peu de temps, une forte agitation vint troubler leurs émouvantes retrouvailles. En plein milieu des spectateurs, une violente explosion détonna et tous les spectateurs fuirent en tous sens. Les nobles gémissaient en courant de tous les côtés et les plus jeunes grimpaient aux balcons car la porte principale de sortie était bombée par la foule. Un grand nombre essaya de fuir sur l aérothéâtre qui commença à s écraser sur le sol tant son poids devenait trop lourd. Bach et son équipe durent faire décoller leur imposant appareil pour éviter qu une catastrophe ne se produise. Ils emmenèrent avec eux la plupart des personnes et Djidane s adressa à Dagga, bien qu un vacarme infernal émanait des personnes apeurées par les explosions qui continuaient d effrayer la foule.
-Djidane- : Reste là ! Je vais voir ce qui se passe !
-Dagga- : Mais Dji. . .