Pourquoi?

Je sais pas si il fallait comprendre quelque chose.

Bah juste que la description lui ressemble méchamment: les mêmes taches de... "bleueur" ( ), les mêmes yeux, la même gentillesse... Bref, pour moi c'est Liara et les Asari projetées dans un moyen-âge humain.

Plus l'antiquité Asari pour l'époque de la fiction.

Et pour l'impératrice, je voulais que le personnage soit le plus doux possible et aussi la plus joli.

Bah voilà, pas besoin de chercher bien loin.
Le truc quand on essaye d'imaginer l'inconnu - ici les extraterrestres- c'est qu'il n'en ressorte que trop humain... A tort ou à raison d'ailleurs.

encore un bon chapitre et c'est quand que j'ai mes brochettes .. ...... .... nan j’arrête mais c'est quand que mes esclaves sexuelles arrivent ? (je parles des soldates de serris )
bah quoi vous aimez pas les blagues casuals ?

ouais franchement t'es trop drôle mec

https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-20237-473384-6-0-1-0-fic-la-bataille-de-la-foret-de-tarrya.htm#message_477758

• blam blam blam*

C'était mon first

Wetson

Sinon, le prochain chapitre, arrivera Mercredi.

Wetson Noraj' de ma toute-puissance.

Nassana Voir le profil de Nassana
Posté le 12 août 2013 à 19:23:05 Avertir un administrateur
Wetson Noraj' de ma toute-puissance.

J'ai firsté les trois quarts des chapitres des deux fics de bro' haru

Noraj de mon skill Chuck Norissien

Wetson Voir le profil de Wetson
Posté le 13 août 2013 à 01:50:02 Avertir un administrateur
J'ai firsté les trois quarts des chapitres des deux fics de bro' haru

Noraj de mon skill Chuck Norissien

Et moi j,ai fais des blagues marrantes pendant les 3/4 de la fic

Et moi, j'arrive à peine ici que je fais un one-shot first bim boum #yolo #swag #asari #poseyy.

Nassana Voir le profil de Nassana
Posté le 13 août 2013 à 06:38:18 Avertir un administrateur
Et moi, j'arrive à peine ici que je fais un one-shot first bim boum #yolo #swag #asari #poseyy.

Chuks norris nassana mod on

Haru on est mercredi ! elle est ou la suite !

Elle arrive dans pas longtemps!!

J'annonce rapidement ici que je vais commencer une fic sur la vie de Shep' après la guerre.

Chapitre 14.

La 8éme armée arrive devant la forêt de Tarrya à la faveur de l'aube. La Générale Isya ordonne à une partie de ses troupes de dresser un petit campement en retrait de l'immense terrain dégagé qui se trouve devant les bois et qui sera, bientôt, le champ de bataille sur lequel s'affronteront les deux armées. Le reste des soldates se met en ordre de bataille de façon à se tenir prêt si l'armée de Serris apparaît avant le moment prévu par la Générale aux yeux d'argent.

Le fait d'être arrivée en premier donne un avantage certain à la 8éme armée malgré son effectif inférieur à celui de Serris. Elle peut choisir le terrain de la bataille. Pour ne pas laisser le choix à Serris, la Générale Isya a décidé que l'affrontement se déroulera devant la forêt et a déployé ses troupes en conséquence. Elle peut également bien préparer ses formations militaires qui pourront aussitôt se lancer dans la bataille dès que l'ennemie arrivera. Les adversaires perdront du temps à s'organiser. Par ailleurs, en attendant le moment fatidique des combats, les soldates d'Armali peuvent se reposer un peu alors que celles de Serris sont à bout de force.

La Générale Isya arbore une armure en argent, décorée par une gravure représentant la déesse Kurinth, divinité de la guerre et de la chasse. Sous la cuirasse, comme tous les officiers d'Armali, elle porte une tunique blanche aux extrémités brodées de fil d'or. Des protèges bras et tibias, également en argent, complètent sa tenue d’officier. La matrice de cinq cent trente deux ans observe le passage forestier qui permet de pénétrer dans les bois et d’où sortira l'ennemie. L'Asari, à la peau bleu foncé et au tatouage facial blanc représentant des motifs tribaux, songe au plan de bataille que lui a soumit la Générale Tissia par le biais des messagères. Son regard se tourne vers une portion de la forêt à plus de cinq cent mètres à droite du passage. Elle se tourne ensuite vers son officier en second qui se trouve prêt d'elle.

-Tu vas dire aux chefs des compagnies cinq à onze de rejoindre le point de ralliement prévu pour faire la jonction avec la Générale Tissia. Qu'elles soient accompagnées des éclaireuses qui ont rencontré la Générale. Je ne veux pas qu'elles se trompent de position. Dit la Générale.
-A vos ordres.

L'officier en second part aussitôt transmettre les ordres que vient de lui confier la Générale. Cette dernière observe à nouveau la lisière du bois. La Générale Isya est une officier réputée de l'armée d'Armali. Cela fait plus de trois cent cinquante ans qu'elle sert l'armée. Elle est aguerrie par des siècles de combats. Elle a participé à toutes les guerres qu'a connues Armali ces trois cent dernières années. Elle prend toujours part directement aux combats, se mêlant à ses soldates dans la bataille. Elle délègue, dans ses moments là, les manœuvres tactiques à son officier en second qui reste en retrait pour appliquer le plan que lui a confié la Générale. Durant toutes ces décennies de conflits, la Générale a échappé à la mort un nombre incalculable de fois. Sa peau est d’ailleurs marquée par de nombreuses cicatrices, vestiges de ses anciens combats et qu'elle est toujours fière d’exhiber. Pour elle, elles témoignent de son courage et de son dévouement à la république d'Armali.

Les sept cents soldates en armure qui partent rejoindre le détachement de la 1er armée attirent le regard d'Isya. Elles longent la forêt pour enfin disparaître derrière un vallonnement du terrain. C'est derrière ce repli de terrain qu'elles doivent retrouver la Générale aux yeux d'argent. Ce couvert naturel les dissimile à la vue des troupes de Serris qui sortiront des bois. Elles pourront ainsi prendre l'ennemie facilement à revers.

Le soleil monte de plus en plus haut dans le ciel. L'heure de la bataille approche à grands pas. Le petit campement construit sur ordre de la Générale est prêt. Il accueillera les blessées qui ne manqueront pas d'être nombreuses durant les combats. Les soldates qui ont terminé la préparation des lignes arrières, rejoignent petit à petit les formations militaires pour se tenir prête au combat.

La Générale Isya a organisé une formation de bataille idéale. Une phalange, répartie sur dix rangées, compose la première ligne. Elle est chargée de casser la phalange adverse. Ensuite, les archères, juste derrière la première ligne, auront pour tâche d'inonder l'ennemi de leur flèches mortelles. Quand les deux phalanges entreront en contact, elles cesseront immédiatement les tirs et se replieront. Une seconde ligne, organisée en phalange mais de cinq rangées seulement, complète le dispositif. Cette deuxième ligne, se lancera dans la bataille peu après le début des hostilités pour renforcer la première ligne faisant passer la première phalange de dix rangés à quinze rangées. Enfin, les renforts, positionnés en troisième ligne, interviendront si la situation l'exige.

La seule chose que redoute maintenant la Générale Isya est le mauvais temps qui risque de s'inviter à la bataille. En plus des nuages gris qui couvrent le ciel ne laissant pas passer un seul rayon de soleil, le vent s'est levé, faisant voler les bannières de la 8éme armée. Si la pluie doit, elle aussi faire son entrée en scène, alors le terrain deviendra vite boueux limitant l'efficacité des phalanges. Tout en regardant le ciel, la Générale s'adresse à son officier en second qui l'a, de nouveau, rejoint après avoir transmis les ordres.

-Qu'est ce que tu en penses ? Demande la Générale Isya en regardant le ciel.

L'officier en second lève les yeux vers le ciel. Elle ne répond pas toute suite. Elle évalue la situation. Après quelques secondes de réflexion, il ne fait aucun doute pour elle que les choses vont empirer. Les nuages deviennent de plus en plus noirs, assombrissant les lieux. Des grondements de tonnerres se font entendre.

-Je pense qu'il faut que Serris se grouille un peu pour qu'on puisse les vaincre avant que le mauvais temps complique la situation.

Une partie de la phrase de son officier en second attire l'attention de la Générale.

-Tu as l'air bien confiante sur notre victoire. Dit la Générale.
-Évidement, les troupes de Serris sont affaiblies par des jours de marches et de combats.

• suite chapitre 14*

L’officier en second semble animé d'un excès de confiance dû aux rapports reçus sur l'état des troupes de Serris. La Générale Isya sait qu'il ne faut jamais sous estimer son adversaire même affaibli. En effet, c'est dans ces moments là, avec l’énergie du désespoir, que l'ennemie peut renverser la situation. Et cela, Isya le sait. Elle le sait même trop bien. Elle a appris cette réalité à ses dépends. Isya n'était alors qu'une capitaine, à la tête d'un bataillon de trois cents soldates. Elle devait affronter les restes d'une armée ennemie qui avaient été défaits la veille mais qui refusaient de se rendre. Les effectifs ennemis ne se composaient que d'une centaine d'Asari épuisées par les combats. Isya, confiante dans sa troupe supérieure en nombre, chargea l'adversaire. Les soldates ennemies, animées par l’énergie du désespoir, réussirent courageusement à défaire le bataillon d'Isya. Celle-ci fut gravement blessée durant la bataille et seulement une vingtaine d'Asari sortirent indemnes des combats. La victoire n'a pû être acquise que le lendemain après l'intervention d'un autre bataillon d'Armali. Cet événement malheureux est resté encré dans la mémoire de l'officier qui se jura de ne plus jamais sous estimer un ennemi.

-Qu'est ce que je t'ai apprise ! Grommelle la Générale.

Les paroles de la Générale rendent l'officier en second perplexe. Il lui faut un petit instant pour comprendre de quoi elle parle.

-Désolée Générale. Je ne dois jamais sous-estimer l'ennemi. Dit l’officier en second.
-N'oublie jamais cette règle si tu veux un jour devenir une bonne Générale.
-Oui Générale.
-Sinon pour revenir au temps, je suis d'accord avec toi. Les choses risquent vite de se gâter. Espérons que tout soit fini avant que le terrain ne devienne impraticable.

Les deux Asari, depuis leur position, regardent les soldates qui se sont mises en formation de bataille. Les quatre mille cinq cents soldates d'infanterie arborent une cuirasse en fer dépourvue du moindre motif ainsi que des protèges bras et tibias également en fer. En première ligne, les soldates tiennent fermement un bouclier rond dans la main gauche tandis que de l'autre elles tiennent une longue lance. Juste derrière elles, les archères au nombre de cinq cents pourvues d'une armure en cuir légère pour faciliter leur mouvement, tiennent d'une main une des extrémités de leur arc, tandis que l'autre extrémité touche le sol juste à leur pied.

Pas un bruit ne s’élève de la formation militaire qui se trouve à plusieurs centaines de mètres de l'immense forêt. On entend seulement les étendards qui claquent au vent qui s'intensifie. Les soldates restent stoïques, fixant l'entrée du sentier qui mène à l’intérieur des bois. Chaque Asari n’espère plus qu'une chose, que l'ennemi apparaisse enfin, pour rompre cette interminable attente qui s'est instaurée dès que les préparatifs pour le combat furent achevés. Leur visage ne montre pas la peur bien qu'elles savent que certaines d'entre elles ne vont pas revenir de cet affrontement mortel. Cela fait longtemps que ces soldates de métier dont toutes ont déjà connu l’expérience des combats au moins une fois dans leur vie, se sont faites à l'idée que la mort est leur quotidien. Elles savent qu'il faut accepter cette fatalité pour engager le combat le cœur léger et ne pas hésiter dans la bataille.

Une Asari, qui n'est autre qu'une éclaireuse de la 8éme armée, sort des bois non loin du sentier et s'approche de la Générale pour faire sont rapport.

-Les troupes de Serris seront bientôt là, Générale !
-Très bien. Dit Isya. (Elle se tourne vers son officier en second). Que tout le monde se tient prêt. Ça va être à nous, de jouer.
-A vos ordres. Répond l’officier en second.

L'heure de la bataille va bientôt sonner.

Raaaah... Tout ce suspeeeensee !!
T'es assez doué pour te faire désirer bro'